Au sud-ouest de la Lozère, où les rivières ont dessiné de profondes gorges, enserrant plusieurs plateaux calcaires connus sous le nom de « Causses ». Du nord au sud, on trouve ainsi le Causse de Sauveterre, les Gorges du Tarn, le Causse Méjean, les Gorges de la Jonte, et enfin le Causse noir. Pas de grande ville ici, mais plusieurs bourgs ayant une importante activité touristique, tels que Meyrueis, Ispagnac, Sainte-Énimie, Le Massegros et Le Rozier.
Ça ressemble à quoi ?
On dit parfois du Causse Méjean que c’est une « île intérieure ». Il est vrai que ce plateau est encerclé par les eaux, avec le Tarn au nord et à l’ouest, la Jonte au sud, et le Tarnon à l’est ! On compare aussi les Causses à la Mongolie, tant pour leurs paysages dénudés que pour leur faible densité de population. Du côté des Gorges, préparez-vous au grand frisson ! Leur profondeur frôle par endroits les 500 mètres, offrant des panoramas vertigineux. En prime, d’innombrables sculptures minérales et des hameaux suspendus aux falaises.
On y fait quoi… côté boulot ?
Médico-social : infirmiers, aides-soignants, ergothérapeutes ou encore psychomotriciens sont autant de profils recherchés par les EHPAD de Meyrueis, d’Ispagnac et du Massegros, et par le foyer de vie de Meyrueis.
Santé : la maison de santé de Meyrueis offre la possibilité d’un exercice libéral et coordonné des professions de santé, en lien avec les praticiens déjà en place (médecin généraliste, dentiste, ophtalmo, infirmiers, kinés…).
Tourisme : agent polyvalent, d’accueil ou d’entretien, chef cuisinier, serveur, réceptionniste ou encore moniteur d’activités de pleine nature sont autant d’emplois saisonniers proposés dans les Gorges du Tarn et de la Jonte.
Agroalimentaire : la Fromagerie du Massegros est un acteur majeur de l’industrie lozérienne… et la plus grande laiterie au monde pour le lait de brebis ! Elle fait partie du groupe Lactalis, et produit notamment le célèbre Salakis. À Hyelzas, la fromagerie du Fédou recrute aussi régulièrement.
Agriculture : les exploitations ovines sont nombreuses sur les Causses, tant pour la production de fromages que de viande d’agneau. Toutefois, la plupart des fermes sont de petite taille, et les offres d’emplois restent rares.
Printemps : on profite du calme des Gorges du Tarn et du haut niveau d’eau pour goûter aux joies du kayak ou du paddle | on repousse ses limites sur l’une des nombreuses courses de trail qui ponctuent le printemps (et pas que !).
Été : on termine sa journée par un plouf dans le Tarn, la Jonte ou le Tarnon | on fait le tour des fêtes votives (c’est ainsi qu’on appelle les fêtes de villages) et des fêtes du pain, pour rencontrer de nouvelles têtes en toute convivialité.
Automne : on remplit son panier de délices locaux à la Foire de la St-Michel de Meyrueis, une institution depuis près de 8 siècles ! | on apprend à reconnaître les « oreillettes »… et on part à la recherche de ces délicieux champignons.
Hiver : on s’offre une bonne dose de dépaysement à deux pas de chez soi, en grimpant sur le Causse Méjean par une journée enneigée… | dans le calme d’une maison voûtée, on revisite la raclette avec un fromage bien d’ici.
Le coin pratique
Éducation : des micro-crèches ou MAM, ainsi que des écoles primaires, sont disponibles à Meyrueis, Sainte-Énimie, Le Massegros, Ispagnac… Pour le collège, cap sur Meyrueis ou sur Sainte-Énimie, qui abrite une antenne du collège de Florac. Quant aux plus grands, ils seront accueillis dans les lycées de Mende ou de La Canourgue.
Santé : outre la maison de santé pluriprofessionnelle de Meyrueis, vous trouverez des médecins généralistes à Ispagnac et Sainte-Énimie. Ces 3 villages disposent aussi de pharmacies.
Alimentation : pour vos courses, vous trouverez des supérettes à Meyrueis et Ispagnac, ainsi que des épiceries au Massegros, à Sainte-Énimie et au Rozier. Boulangers, bouchers et autres fromagers sont également de la partie, pour régaler petits et grands !
Au nord-ouest de la Lozère, entre les villages de Fournels au nord et Nasbinals à l’ouest, et les (petites) villes de Marvejols au sud et Aumont-Aubrac à l’est ! À 1h40 de route de Clermont-Ferrand et 2h de Montpellier via l’A75. À 1100 mètres d’altitude moyenne, avec le Signal de Mailhebiau et ses 1469 mètres pour point culminant !
Ça ressemble à quoi ?
Des hauts-plateaux au goût d’infini, veinés de ruisseaux aux reflets argentés, parsemés de villages de granit, et peuplés de vaches aux longs cils. Vertige horizontal garanti, sur cette terre de caractère qui tire son nom de l’occitan « alto braco », soit « haut et humide ». D’aucuns vous diront que l’Aubrac leur rappelle les Highlands écossais… Ce qui est certain, c’est d’une part qu’on y mange bien (à commencer par le célèbre aligot !), et d’autre part que le territoire est protégé par un Parc naturel régional depuis 2018 !
On y fait quoi… côté boulot ?
Agriculture : façonnant les paysages, l’élevage est l’activité incontournable de l’Aubrac. Il s’agit toutefois surtout de petites exploitations familiales et les offres d’emplois sont rares.
Métiers de bouche & petits commerces : sur l’Aubrac, on aime ripailler ! Emploi salarié ou reprise d’activité, des opportunités existent en tant que boulanger, boucher ou encore épicier.
Transport : grâce à l’autoroute A75, qui serpente sur toute sa façade orientale, l’Aubrac se prête aux métiers de chauffeur-livreur ou chauffeur poids-lourds.
Tourisme : destination nature et bien-être, l’Aubrac séduit les vacanciers. La station thermale de La Chaldette, les hôtels et restaurants recrutent chaque année des saisonniers.
Aide à la personne : pour assurer l’accompagnement des personnes âgées dans les tâches de la vie courante, les profils d’aide à domicile sont très demandés.
Numérique : comme le reste de la Lozère, l’Aubrac est fibré ! Alors si vous êtes digital nomad ou que votre métier peut être exercé en télétravail, vous savez ce qu’il vous reste à faire…
Au printemps : on admire les champs de narcisses et on respire leur odeur envoûtante, qui a séduit jusqu’aux parfumeurs de Grasse | on accroche une coquille à son sac à dos et on se joint aux pèlerins en chemin vers St-Jacques-de-Compostelle.
L’été : on se met au frais derrière la Cascade du Déroc, oui oui, on a bien dit DERRIÈRE la cascade, à l’abri des orgues basaltiques… | on vibre au rythme des sons indépendants au MordorFest (toujours dans le cadre idyllique de la Cascade du Déroc).
L’automne : on s’enfonce dans les forêts de hêtres rougeoyantes, à l’affût des champis. Et qui sait, on surprendra peut-être le brame du cerf ? | on fait la tournée des marchés : Aumont-Aubrac le vendredi et Nasbinals le dimanche !
L’hiver : on cuisine un aligot avec des patates made in Aubrac, et on le partage au coin du feu avec sa famille et ses amis. Miam ! | on chausse les skis de fond ou les raquettes, et on s’élance sur les pistes du Fer à Cheval ou de Bonnecombe.
Le coin pratique
Éducation : pour vos tout-petits, Aumont-Aubrac dispose d’une maison d’assistantes maternelles. Côté écoles, l’Aubrac en compte une dizaine (Aumont-Aubrac, Nasbinals, St-Laurent-de-Muret, Prinsuéjols…) : il y en aura forcément une près de chez vous ! Pour les plus grands, cap sur Marvejols ou St-Chély-d’Apcher pour le collège puis le lycée… ou sur Javols, pour suivre une formation aux métiers de la forêt et du paysage.
Santé : Aumont-Aubrac, Nasbinals et Fournels disposent de médecins généralistes (et d’antennes de la maison de santé pluriprofessionnelle Haut-Gévaudan en ce qui concerne Nasbinals et Fournels). Vous trouverez par ailleurs des pharmacies à Nasbinals et Aumont.
Alimentation : vous trouverez un supermarché à Aumont-Aubrac, et des épiceries à Nasbinals et Fournels. Sans oublier les étals (et les conseils avisés !) de nos boulangers, bouchers-charcutiers, fromagers, primeurs… et les marchés de plein air.
Plus vaste massif granitique d’Europe, la Margeride couvre une large partie du nord de la Lozère. On y distingue 2 bassins de vie : autour de St-Chély-d’Apcher à l’ouest (plus d’infos ici), et de Langogne à l’est. Située au carrefour entre la Lozère, la Haute-Loire et l’Ardèche, Langogne est à pile 45 minutes de Mende et du Puy-en-Velay par la N88. Châteauneuf-de-Randon, Grandrieu et La Bastide-Puylaurent constituent les 3 autres bourgs-centres de la Margeride Est.
Ça ressemble à quoi ?
Une succession de pâturages où paissent de nombreux troupeaux de vaches, ponctués de villages et entrecoupés de petits bosquets de résineux ou de forêts plus étendues, à l’image de la forêt de Mercoire, dont l’histoire est associée à la figure de la Bête du Gévaudan. Veinée de plusieurs ruisseaux, la Margeride est arrosée à l’est par la rivière l’Allier. Elle abrite aussi le plus grand lac de Lozère : Naussac.
On y fait quoi… côté boulot ?
Commerce : de par sa situation sur l’axe passager de la N88, Langogne dispose d’un large panel de commerces, qui recrutent régulièrement des employés polyvalents, vendeurs… La Margeride Est offre aussi des perspectives de reprise de petits commerces.
Transport : chauffeur poids-lourds, chauffeur-livreur ou chauffeur de taxi sont autant de profils recherchés sur le territoire, par des entreprises de transport routier, ou des PME ayant une activité d’envergure régionale ou nationale.
Aide à la personne : pour assurer l’accompagnement des personnes âgées dans les tâches de la vie courante, les profils d’aide à domicile sont très demandés.
Médico-social : au sein d’établissements pour personnes âgées ou handicapées (Chambon-le-Château, Grandrieu, Châteauneuf, Langogne, Chaudeyrac…), ou de l’hôpital local de Langogne, les offres d’emploi en tant qu’infirmier et aide-soignant sont nombreuses. Des opportunités existent aussi pour les autres professions médicales ou paramédicales, notamment pour le métier d’ambulancier.
Agriculture : l’élevage bovin est très développé en Margeride. Toutefois, la plupart des exploitations sont de petite taille, et les offres d’emplois restent rares.
Printemps : le samedi matin, on fait ses emplettes sur le marché de Langogne, l’un des plus animés de Lozère ! | on embrasse la Margeride du regard depuis la table d’orientation de la Tour des Anglais, à Châteauneuf-de-Randon.
Été : on bloque sa première semaine d’août pour profiter au max des concerts de musique française et des spectacles de cirque du Festiv’Allier | on succombe à la folie des guinguettes à Grandrieu… avant, pourquoi pas, de piquer une tête dans le plan d’eau.
Automne : on joue à se faire peur en se baladant dans la forêt de Mercoire à l’approche d’Halloween | on grimpe à bord du train à La Bastide pour rejoindre le château de Luc… et on rentre à pied, sur le Chemin de Régordane.
Hiver : on prend sa dose de musique, comédie et danse à domicile, grâce à la programmation intimiste et qualitative du théâtre de L’Arentelle | on télécharge l’appli Baludik pour explorer la Margeride en famille sur les pas des créateurs d’art ou de Du Guesclin.
Le coin pratique
Éducation : de la crèche au lycée (voire au-delà, la ville accueillant quelques formations post-bac), vos enfants pourront suivre toute leur scolarité à Langogne. De nombreux villages disposent par ailleurs d’écoles élémentaires. C’est notamment le cas de Châteauneuf et de Grandrieu, où vous trouverez aussi des structures d’accueil de la petite enfance.
Santé : à Langogne, une maison de santé assure un parcours de soin coordonné grâce à son équipe pluriprofessionnelle (médecins généralistes, kinés, orthophoniste, sage-femme…). D’autres médecins et dentistes disposent par ailleurs de leurs propres cabinets dans la ville. Enfin, un médecin exerce à Châteauneuf.
Alimentation : Langogne compte plusieurs supermarchés, et des épiceries ou supérettes sont disponibles à Châteauneuf, La Bastide ou encore Grandrieu. Boulangers, bouchers, primeurs et autres fromagers complètent l’offre alimentaire.
Plus vaste massif granitique d’Europe, la Margeride couvre une large partie du nord de la Lozère. On y distingue 2 bassins de vie : autour de Langogne à l’est (plus d’infos ici), et de St-Chély-d’Apcher à l’ouest. Outre la patrie des « barrabans » (c’est ainsi qu’on appelle les habitants de St-Chély !), la Margeride Ouest abrite les petites villes de St-Alban-sur-Limagnole et du Malzieu-Ville. Ce bassin est desservi par l’A75, permettant de rejoindre Clermont-Ferrand en 1h20.
Ça ressemble à quoi ?
Des pâturages où paissent de nombreux troupeaux de vaches, arrosés par un réseau de ruisseaux et de rivières. Mais aussi des forêts, prisées des promeneurs et ramasseurs de champignons, et des gorges creusées par la Truyère. Sans oublier un chapelet de petits villages, qui vivent au rythme des saisons et des fêtes et festivals.
On y fait quoi… côté boulot ?
Industrie : St-Chély-d’Apcher est le principal pôle industriel de Lozère. On y trouve en effet une usine de la multinationale métallurgique ArcelorMittal. Forte de 200 salariés, elle recrute régulièrement des techniciens de maintenance et ingénieurs process et qualité.
Transport : grâce à l’A75 (autoroute gratuite Clermont-Ferrand / Béziers), la Margeride Ouest se prête aux métiers de chauffeur-livreur ou chauffeur poids-lourds.
Métiers de bouche & petits commerces : emploi salarié ou reprise d’activité, des opportunités existent en tant que boulanger, boucher ou encore épicier. Les supermarchés recrutent également, le plus souvent sur des postes d’employé polyvalent.
Agriculture : façonnant les paysages, l’élevage est l’activité incontournable de la Margeride. Il s’agit toutefois surtout de petites exploitations familiales et les offres d’emplois sont rares.
Tourisme : labellisé « Plus beau village de France » et « station verte », Le Malzieu-Ville séduit les vacanciers ! St-Alban-sur-Limagnole est par ailleurs traversé par le Chemin de Compostelle.
Médico-social : St-Alban accueille un centre hospitalier spécialisé en psychiatrie. Le territoire comporte par ailleurs plusieurs EHPAD et centres pour personnes en situation de handicap.
Printemps : on enfile son costume et on s’offre une virée dans le temps au Malzieu-Ville, lors de la traditionnelle fête médiévale | on accroche une coquille à son sac à dos et on se joint aux pèlerins en chemin vers St-Jacques-de-Compostelle.
Été : on retrouve ses voisins autour de produits locaux et d’une bonne ambiance musicale lors des soirées guinguette de St-Chély | on fait le plein de fraîcheur et d’activités (canoë, pêche, équitation, accrobranche…) au Plan d’eau du Malzieu.
Automne : on s’offre une soirée culturelle au ciné-théâtre de St-Chély, reconnu pour la qualité et la diversité de sa programmation (ciné-débat, musique, comédie…) | on pique-nique au pied de la Tour d’Apcher, avec vue à 180° sur les monts de Margeride.
Hiver : on barbote en famille dans le centre aquatique de St-Chély-d’Apcher, avec son eau à 28,5°C et ses 4 toboggans géants | on se plonge dans les poèmes de Paul Éluard, qui trouva refuge à St-Alban durant la Seconde Guerre Mondiale.
Le coin pratique
Éducation : pour vos tout-petits, St-Chély dispose d’une crèche multi-accueil et St-Alban d’une micro-crèche. Côté écoles, il y en a un peu partout… et pour les plus grands, cap sur St-Chély pour le collège, le lycée, voire les études supérieures (la ville est notamment réputée pour ses formations en hôtellerie-restauration).
Santé : la maison de santé du Haut Gévaudan, basée à St-Chély, dispose également d’antennes au Malzieu et à St-Alban. Elle regroupe notamment des médecins généralistes, dentistes, kinés, sages-femmes, infirmiers et pharmaciens.
Alimentation : vous trouverez des supermarchés à St-Chély et des commerces alimentaires de proximité au Malzieu et à St-Alban. Sans oublier les marchés de plein air (mardi au Malzieu, jeudi à St-Chély, dimanche à St-Alban) et les étals des boulangers, bouchers, primeurs…
Au sud-est de la Lozère et de la petite ville de Florac, qui est aussi notre sous-préfecture et la capitale du Parc national des Cévennes. Schématiquement, les Cévennes lozériennes prennent place sous la nationale 106, s’étirant jusqu’à la frontière ardéchoise à l’est et aux contreforts gardois au sud. Grâce à la N106, Florac et Le Collet-de-Dèze sont respectivement à 1h15 et 0h30 de l’agglomération d’Alès (100 000 habitants). Barre-des-Cévennes, Ste-Croix-Vallée-Française, St-Étienne-Vallée-Française et St-Germain-de-Calberte sont autant d’autres villages des Cévennes.
Ça ressemble à quoi ?
Une succession de vallées de schiste, peuplées de forêts de châtaigniers, de cultures en « bancels » (ou terrasses), et de mas et villages. Au fond de chaque vallée, une rivière cristalline serpente, de marmites en cascades, offrant des spots de baignade privilégiés par les chaudes journées d’été. D’aucuns supposent d’ailleurs que le mot « Cévennes » viendrait d’ailleurs de « sept veines », en référence aux rivières…
On y fait quoi… côté boulot ?
Artisanat : les Cévennes sont riches de leurs savoir-faire dans le travail de matériaux sourcés localement, tels que la pierre et le bois. Des opportunités existent aussi dans l’artisanat de bouche (emploi salarié ou reprise d’activité).
Aide à la personne : pour assurer l’accompagnement de nos aînés dans les tâches de la vie courante, les profils d’aide à domicile sont très recherchés.
Médico-social & Santé : médecins, infirmiers, AMP, ambulanciers sont autant de profils qui trouveront leur bonheur dans les Cévennes lozériennes. Plusieurs maisons de santé, un hôpital local, une MAS et des EHPAD sont présents sur le territoire.
Administratif : de par sa qualité de sous-préfecture, Florac dispose d’un panel de services publics, qui recrutent régulièrement des profils administratifs (comptable, informaticien…).
Commerce : dans les Cévennes, chaque village ou presque a son commerce multi-services, et des opportunités de reprise d’activité existent. Les emplois salariés sont concentrés à Florac.
Tourisme : agent polyvalent, d’accueil ou d’entretien, moniteur d’activités sportives ou encore conseiller en séjour sont autant d’emplois saisonniers proposés dans les Cévennes.
Agriculture : les exploitations caprines sont nombreuses dans les Cévennes, afin de produire le fameux « Pélardon » AOP. Toutefois, la plupart des fermes sont de petite taille, et les offres d’emplois restent rares.
Printemps : on flâne entre les étals du marché de Sainte-Croix-Vallée-Française pour glaner des délices de saison et quelques idées recettes | on enfile ses chaussures de marche pour partir à la découverte du mythique Chemin de Stevenson, avec ou sans âne.
Été : on compte les étoiles filantes dans le ciel pur des Cévennes, labellisé Réserve internationale de ciel étoilé depuis 2018 | on sort le maillot pour se rafraîchir dans la Mimente, le Tarnon ou encore l’un des Gardons.
Automne : on s’enfonce dans les forêts à la recherche d’une poignée de châtaignes à griller ou de quelques bolets à poêler | on se réchauffe tout en faisant le plein de saveurs et de rencontres au Festival de la Soupe de Florac.
Hiver : musique, danse, théâtre ou cinéma, on fait son choix parmi la large programmation de la « Genette Verte » | on parfait sa connaissance des Cévennes en se plongeant dans un livre sur son histoire mouvementée ou sur sa nature préservée.
Le coin pratique
Éducation : (micro-)crèches et écoles sont disponibles en différents points du territoire. Pour les plus grands, cap sur Florac, Le Collet-de-Dèze ou St-Étienne-Vallée-Française pour le collège – ce dernier dispose d’une section équestre, à bon entendeur… Florac dispose enfin d’un « Campus connecté » ainsi que d’une antenne de l’Institut Agro de Montpellier.
Santé : des maisons de santé pluriprofessionnelles sont implantées à Florac, au Collet-de-Dèze et à St-Étienne-Vallée-Française. Vous y trouverez des médecins généralistes, ainsi que d’autres professionnels de santé (infirmiers, kinés, sages-femmes…).
Alimentation : deux supermarchés sont disponibles à Florac. Les autres villages sont dotés de commerces multi-services ou supérettes. Quant aux marchés, et aux boulangers, fromagers, bouchers…, vous en trouverez un peu partout !
Vous ne pouvez pas vous tromper, c’est en plein milieu de la Lozère ! Le Lot prend sa source sur la Montagne du Goulet. De là, il irrigue une riche vallée, de loin la plus peuplée de Lozère. On y trouve la préfecture, Mende, mais aussi Chanac, Le Bleymard et Bagnols-les-Bains. Les villes de Marvejols, Bourgs-sur-Colagne et La Canourgue ont, pour leur part, été bâties sur les berges d’affluents du Lot : la Colagne et l’Urugne. De Mende et Marvejols, Clermont-Ferrand et Montpellier sont accessibles en 2h/2h15 de route via l’A75.
Ça ressemble à quoi ?
Une vallée verdoyante et majoritairement calcaire, où le passé s’incarne dans un chapelet de châteaux, tours, églises et villages. Ici les reliefs sont tout en douceur et leurs contreforts sont souvent recouverts de forêts de pins ou de feuillus. Nichés à leur pied, de délicieux jardins potagers profitent d’une terre fertile et d’un ensoleillement important…
On y fait quoi… côté boulot ?
Administratif : préfecture de la Lozère, Mende offre de nombreuses opportunités d’emploi dans la fonction publique (territoriale, hospitalière et d’État). Les professionnels de la comptabilité sont par ailleurs très recherchés par les entreprises du territoire.
Médico-social : FAM, foyers de vie, IME… Marvejols est le centre névralgique de la Lozère pour l’accueil de personnes en situation de handicap, avec de nombreuses offres d’infirmiers, aide-soignants, moniteurs-éducateurs.
Commerce : de l’épicerie à l’hypermarché, de la grande surface au magasin spécialisé, l’offre commerciale est variée, les postes aussi (employé polyvalent, préparateur de commandes, responsable de magasin, magasinier…).
Bâtiment : plaquistes, électriciens, plombiers, conducteurs de travaux sont autant de métiers qui recrutent en Vallée du Lot, pour des chantiers à l’échelle départementale.
Santé : exercice salarié au sein de l’Hôpital Lozère, ou libéral dans les maisons de santé, chaque professionnel trouvera chaussure à son pied !
Tourisme : si l’activité est essentiellement concentrée sur la période estivale, la station thermale de Bagnols-les-Bains et la ville de Mende offrent quelques opportunités à l’année.
Printemps : on passe l’après-midi à l’aire de jeux XXL du Causse du Mont Mimat, qui séduit les enfants de 18 mois à 12 ans | on s’installe à la terrasse d’un café pour savourer les rayons du soleil, goûter les nouveautés ou tout simplement papoter.
Été : on vibre au rythme des festivals (Détours du Monde, Festi’Val d’Olt, 48ème de rue, Marveloz Pop Festival…), on danse, on chante et on s’amuse jusqu’au bout de la nuit ! | on se rafraîchit à Mende Plage, dans les piscines extérieures (Marvejols, Chanac, La Canourgue…).
Automne : on chausse ses baskets pour aller capturer les couleurs flamboyantes de la forêt domaniale de La Loubière, ou admirer les reflets chatoyants du Lac de Charpal | on se prélasse dans les bains bouillonnants, les saunas et le bassin thermal de la station de Bagnols-les-Bains.
Hiver : on s’offre une soirée théâtre, cirque, ciné-débat ou encore musique dans l’une des nombreuses salles de spectacle | on cherche « la » truffe parfaite sur le marché spécialisé de La Canourgue, courant février.
Le coin pratique
Éducation : épicentre de la Lozère, la Vallée du Lot est riche de nombreuses écoles maternelles et élémentaires. Pour les plus grands, Mende, Marvejols et La Canourgue disposent de collèges et lycées, et d’une offre de formations post-bac dans l’agriculture, le tourisme, l’enseignement ou encore les soins infirmiers. Le Bleymard accueille aussi les collégiens, avec notamment une section « jeunes sapeurs-pompiers ». Des crèches ou MAM sont enfin disponibles à Mende, Marvejols, Chanac, La Canourgue…
Santé : disposant d’antennes à Mende et Marvejols, l’Hôpital Lozère prend en charge un large panel de pathologies. Un secteur d’urgences et une maternité sont notamment accessibles sur le site mendois. Des maisons de santé pluriprofessionnelles sont par ailleurs implantées à Mende, Marvejols, Chanac et La Canourgue.
Alimentation : tous types de commerces alimentaires sont disponibles à Mende et Marvejols. Les autres villes et villages sont dotés de supérettes ou supermarchés.
Massif granitique, le Mont-Lozère prend place en-dessous de la Vallée du Lot, et au-dessus des Cévennes lozériennes. Il s’étend des Bondons à l’ouest, à Prévenchères, Villefort et Vialas à l’est, en passant par Finiels au nord, et Le Pont-de-Montvert au sud. Sur sa partie orientale, il flirte avec les villages de l’Ardèche et du Gard.
Ça ressemble à quoi ?
Ne cherchez pas plus loin les plus hauts sommets de Lozère : ils sont là ! Le Mont-Lozère abrite en effet le Pic de Finiels et ses 1699 mètres d’altitude, ainsi que le Pic Cassini, qui culmine à 1680 mètres. Sur ce massif au relief doux, les chaos rocheux sont légion, les menhirs et montjoies se comptent par dizaines. Les rivières ne sont pas en reste, à commencer par le Tarn qui y prend sa source. Quant à la biodiversité, elle est foisonnante et protégée, une large partie du Mont-Lozère étant située en zone cœur du Parc national des Cévennes.
On y fait quoi… côté boulot ?
Médico-social : infirmiers, aides-soignants et autres professions paramédicales pourront exercer dans les EHPAD de Villefort et de Vialas, ou au foyer de vie de Prévenchères.
Aide à la personne : pour assurer l’accompagnement des personnes âgées dans les tâches de la vie courante, les profils d’aide à domicile sont très recherchés par l’ADMR et Présence Rurale 48.
Tourisme : agent polyvalent ou d’entretien, cuisinier, serveur ou encore moniteur d’activités de pleine nature sont autant d’emplois saisonniers proposés sur le Mont-Lozère.
Télétravail : Le Pont-de-Montvert, Villefort et Ventalon-en-Cévennes disposent d’espaces de coworking et/ou de tiers-lieux. L’assurance de télétravailler dans des conditions optimales, et de développer son réseau professionnel !
Agriculture : l’élevage et l’apiculture sont très développés sur le Mont-Lozère. Villefort abrite par ailleurs une ferme piscicole. Toutefois, la plupart des exploitations sont de petite taille, et les offres d’emploi restent rares.
Printemps : on s’essaye à la via ferrata « avec vue » sur le Lac de Villefort, grâce aux deux parcours équipés (facile / difficile) et en accès libre | on admire le camaïeu de verts de la Cham des Bondons… tout simplement.
Été : on s’installe confortablement pour observer les constellations et étoiles filantes d’un des ciels les plus purs d’Europe | jazz, swing, soul, groove ou blues, on vibre aux sons langoureux du festival « Jazz à Vialas » !
Automne : on se promène à l’aube ou au crépuscule en forêt, pour tenter de surprendre le brame du cerf | on salue les randonneurs engagés sur le Chemin de Stevenson depuis la terrasse ensoleillée d’un café du Pont-de-Montvert.
Hiver : on fait le tour des artisans pour remplir la hotte du Père Noël… et agrémenter les repas festifs de fin d’année | on chausse les skis dès que l’enneigement le permet, ou les raquettes, voire on s’offre une session de snowkite au paradis… blanc !
Le coin pratique
Éducation : vous trouverez des structures d’accueil de la petite enfance à Villefort et au Pont-de-Montvert, et des écoles primaires dans de nombreux villages du Mont-Lozère. Pour les ados, cap sur Villefort ou Vialas pour le collège, puis sur Mende pour le lycée.
Santé : Le Pont-de-Montvert et Vialas accueillent des antennes de la maison de santé pluriprofessionnelle Collet / Pont / Vialas (médecins généralistes, infirmiers, kinés…). Vous trouverez également des médecins généralistes à Villefort, ainsi qu’un dentiste. Côté pharmacies, Le Pont-de-Montvert et Villefort en sont dotés.
Alimentation : des épiceries ou supérettes sont disponibles dans les bourgs principaux : Villefort, Le Pont-de-Montvert ou encore Vialas. Les artisans de bouche sauront par ailleurs vous régaler, dans leurs boutiques (boulangers, bouchers, fromagers…) ou sur les marchés (mercredi matin au Pont-de-Montvert, jeudi matin à Villefort).
Au nord de la Lozère, et à deux pas de l’autoroute A75, Saint-Chély-d’Apcher occupe une place particulière dans le paysage professionnel de la Lozère. C’est en effet la seule ville à disposer d’une réelle activité industrielle, avec une unité de production du géant de la métallurgie ArcelorMittal, et l’entreprise SEFIAM, fournisseur de Dassault Aviation pour les matériels de piste. Mais Saint-Chély, c’est aussi une ville commerçante et administrative, proposant donc un large panel d’emplois. Côté cadre de vie, la ville vous séduira par sa riche offre culturelle et sportive, ainsi que par sa localisation entre Margeride et Aubrac.
Infos pratiques
Nombre d’habitants : 4 200
Commerces : tous commerces (supermarchés, boulangeries, boucheries, magasin de sports, magasins d’habillement, épiceries fines…) et marché le jeudi matin
Services : tous services (médecins, dentistes, pharmacies, agences bancaires, bureau de poste, stations-services, hôtels, restaurants, office de tourisme…)
Transports : gare SNCF (connexions vers Clermont-Ferrand, Marvejols et Béziers), autoroute A75 (sorties 33 et 34 – 1h30 de route pour Clermont-Ferrand, 2h15 pour Montpellier).
Logements : offres locatives et à l’achat, d’appartements et maisons (dont HLM). Offres à retrouver auprès des agences immobilières et bailleurs sociaux, et dans la presse locale (Lozère Nouvelle).
Écoles : 3 lycées (1 public + 2 privés), 2 collèges (1 public + 1 privé), 2 écoles élémentaires (1 publique + 1 privée), 1 école maternelle (publique). Saint-Chély-d’Apcher propose aussi une offre de BTS dans les secteurs de l’agriculture, l’industrie, l’artisanat et l’hôtellerie.
Climat : située à 975 mètres d’altitude, Saint-Chély-d’Apcher connaît son mois le plus froid en janvier (-3,3 / 4,9°C) et ses mois les plus chauds en juillet et août (10,5 / 22°C). L’ensoleillement est plus important que la moyenne nationale, la pluviométrie plus faible.
Loisirs
Activités culturelles :
De nombreux équipements : ciné-théâtre, médiathèque Théophile Roussel, école municipale de musique, pôle culturel Le Quartz, musée de la métallurgie…
Des événements : saison culturelle du ciné-théâtre (musique, théâtre, comédie), festival Saint-Chély-d’Arte (théâtre, musique), festival des cultures du monde (dans le village voisin de La Fage Saint-Julien), foire à la bonne bouffe, soirées guinguette…
Activités sportives :
De nombreux équipements : espace aquatique / piscine Atlantie (bassin sportif 25 m, 4 toboggans, espace fitness, sauna, aquabike…), terrain de football, salle de gymnastique, salle de tir sportif, dojo, boulodrome, skatepark…
Des événements : Nuit de l’eau, Sacré Raid (raid multi-sports), Grand Prix Cycliste…
… et 120 associations sportives et culturelles !
Top 3 des choses à faire
En famille : se défouler sur le skate park et le street workout du Péchaud ; remonter l’histoire au Scénovision de St-Alban ; apprendre à reconnaître les plantes lors d’une sortie nature
Les jours de pluie : profiter des bassins et toboggans de l’espace Atlantie ; assister à un spectacle en toute convivialité au café-théâtre ; titiller ses papilles à petit prix au restaurant pédagogique
Aux alentours : pratiquer la via ferrata ou la rando dans les Gorges de la Truyère ; profiter du panorama à 360° depuis la Tour d’Apcher ; visiter le « plus beau village de France » du Malzieu
S’il ne devait en rester qu’un…
Le conseil : abonnez-vous à la newsletter de l’Office de Tourisme « Margeride en Gévaudan » pour être informé des nombreuses animations du territoire. Jeux de piste nature, observation des étoiles, balades gourmandes, spectacles, marchés… : il y en a pour tous les goûts !
L’incontournable : pour comprendre l’histoire de Saint-Chély-d’Apcher, rien de tel que de prendre le départ du parcours historique. Celui-ci vous conduira notamment aux murs d’enceinte de la ville, érigés par la Baronnie d’Apcher, et jusqu’à la maison natale de Théophile Roussel, à l’origine de la 1ère loi française de protection de l’enfance.
La date : c’est en 1917 que l’usine de Saint-Chély-d’Apcher a ouvert ses portes. Cette activité industrielle, combinée à un cadre de vie préservé et rural, a attiré de nombreux travailleurs et leurs familles, conférant au territoire une véritable culture d’accueil et mixité.
Le fun fact : lors de la Guerre de Cent Ans, les habitants de Saint-Chély-d’Apcher repoussèrent une armée de pillards anglais au cri de « d’Apchier, Notre-Dame, barres en avant ! ». La déformation de « barres en avant » aurait donné « Barrabans », le surnom actuel des habitants de la ville !
Deuxième ville de Lozère et ancienne capitale du Gévaudan, encore protégée par ses fortifications, Marvejols offre un large panel d’opportunités professionnelles, dans les domaines de la comptabilité, de la santé, de l’éducation spécialisée, de l’aide à la personne, des commerces de bouche ou encore de la charpenterie. La ville dispose de tous les commerces et services de proximité, et se situe aux portes de l’Aubrac et de la Margeride. Elle présente aussi l’avantage d’être à moins de 10 km de l’A75, permettant de rejoindre Millau en 55 minutes ou Clermont-Ferrand en 1h50.
Commerces : tous commerces (supermarchés, boulangeries, boucheries, fromagerie, magasin de sports, magasins d’habillement, fleuriste…) et marché le samedi matin
Services : tous services (hôpital, pharmacies, agences bancaires, bureau de poste, stations-services, hôtels, restaurants, office de tourisme…)
Transports : gare SNCF (connexions avec Mende, Clermont-Ferrand, Béziers), autoroute A75 (sortie 38 – Antrenas et sortie 39 – Le Monastier)
Logements : offres locatives et à l’achat, à Marvejols et dans les environs (Montrodat, Antrenas, St-Léger-de-Peyre, Chirac, Le Monastier), d’appartements et maisons (dont HLM). Offres à retrouver auprès des agences immobilières et bailleurs sociaux, et dans la presse locale (Lozère Nouvelle).
Écoles : 2 lycées privés, 2 collèges (1 public + 1 privé), 2 écoles élémentaires (1 publique + 1 privée). Marvejols dispense aussi une sélection de formations post-bac : BTS agricole, BTS métiers de l’esthétique-cosmétique-parfurmerie et DE éducateur spécialisé.
Climat : située à 670 mètres d’altitude, Marvejols connaît son mois le plus froid en février (-1 / 5°C) et ses mois les plus chauds en juillet et août (12 / 23 °C). L’ensoleillement est plus important que la moyenne nationale, la pluviométrie plus faible.
Loisirs
Activités culturelles :
Des équipements : cinéma Trianon, théâtre du Hangar, musées archéologique et des Deux Albert, ainsi que la salle polyvalente qui accueille des événements tout au long de l’année.
Des événements : festival « Marveloz Pop Festival » (arts de rue, musique, danse), festival « Les Sources poétiques », programmation du Sillon Lauzé (musique), foire mensuelle
Près de trente associations culturelles
Activités sportives :
De nombreux équipements : complexe sportif Marceau Crepin (salle multi-sports, mur d’escalade, salle de tennis de table, dojo…), gymnase municipal (salle de gym, ring de boxe), stade de Mascoussel (terrains de foot, terrain multi-sports, skate park, parcours de course d’orientation…), courts de tennis de L’Empery, boulodrome
Des événements : semi-marathon Marvejols-Mende
Une trentaine d’associations sportives
Top 3 des choses à faire
En famille : déguster des Damaselles et autres confiseries locales ; relever les missions Baludik dans les ruelles de la ville ; faire un barbecue ou un pique-nique au bord du Lac du Moulinet
Les jours de pluie : se faire une toile au cinéma classé « art et essai » ; prendre de la hauteur dans la Porte du Soubeyran ; se baigner en piscine ou lac (quitte à être mouillé…)
L’hiver : explorer le Gévaudan en réalité virtuelle à l’Office de Tourisme… ou dans l’assiette autour d’un plateau de fromages ; chausser les raquettes sur le plateau de l’Aubrac voisin
S’il ne devait en rester qu’un…
Le conseil : poussez les portes des petits commerces de Marvejols pour faire le plein de bons produits locaux et de saison, dégoter de nouvelles recettes et nouer des liens avec les habitants. Le marché du samedi matin vaut aussi le détour, ainsi que le grand vide-grenier début août.
L’incontournable : à un petit quart d’heure de Marvejols, sur les terres de la Bête du Gévaudan, le plus grand parc à loups d’Europe vous attend pour une visite riche en apprentissages et frissons. En toutes saisons, pour quelques heures voire pour la nuit, expérience inoubliable garantie !
La date : vous avez remarqué une statue d’Henri IV à Marvejols ? Elle symbolise la reconnaissance de ses habitants pour le Roi, qui finança la rénovation de la ville (et notamment de ses belles portes) en 1592, suite à sa dégradation lors de la Saint-Barthélémy.
Le fun fact : c’est à Marvejols que fut tourné le film « 37.2° le matin » ! La place Henri IV, la rue droite ou encore l’église de la ville devraient vous rappeler quelques souvenirs…
Capitale de la Lozère, Mende offre une grande diversité de perspectives professionnelles, dans les secteurs de l’administration publique, de la comptabilité, de la santé, du social, de l’aide à la personne, du commerce ou encore de la mécanique. C’est une vraie « ville à la campagne », où les commerces et services sont à portée de main, de même que les chemins de rando et autres activités de pleine nature ! En vous installant à Mende, vous profiterez aussi d’une riche vie culturelle et associative, ainsi que de bonnes connexions vers Montpellier et Clermont-Ferrand via l’A75 (resp. 2h30 et 2h de route).
Commerces : tous commerces (hyper/supermarchés, boulangeries, boucheries, poissonnerie, magasins de sports, magasins d’habillement, épiceries fines…) et marché le samedi matin
Services : tous services (hôpital, pharmacies, agences bancaires, bureau de poste, stations-services, hôtels, restaurants, office de tourisme…)
Transports : réseau de transports urbains MAX, gare SNCF (connexions avec Nîmes, Clermont-Ferrand, Béziers), N88 vers Lyon et Toulouse (3h de route) – A75 à 30 minutes.
Logements : offres locatives et à l’achat, à Mende et dans les environs (Badaroux, Chastel-Nouvel, Balsièges, Barjac, Brenoux), d’appartements et maisons (dont HLM). Offres à retrouver auprès des agences immobilières et bailleurs sociaux, et dans la presse locale (Lozère Nouvelle).
Écoles : 3 lycées (2 publics + 1 privé), 2 collèges (1 public + 1 privé), 7 écoles élémentaires (4 publiques + 3 privées), 3 écoles maternelles (publiques), 2 multi-accueils collectifs et 1 multi-accueil familial. Mende propose aussi une offre de formations post-bac : BTS (industriels et tertiaires), IFSI, antennes de l’IAE de Perpignan et de l’INSPE de Montpellier…
Climat : située à 750 mètres d’altitude, Mende connaît son mois le mois le plus froid en février (-2 / 5°C) et ses mois les plus chauds en juillet et août (14 / 24°C). L’ensoleillement est plus important que la moyenne nationale, la pluviométrie plus faible. Les jours de neige sont rares, et la neige tient généralement peu longtemps au sol.
Loisirs
Activités culturelles :
De nombreux équipements : théâtre de Mende, cinéma « Le Trianon », médiathèque Lamartine, centre multimédia « L’Antirouille », musée du Gévaudan, école de musique…
Des événements tout au long de l’année : festival 48ème de rue (arts de la rue), les Toqués du Cèpe (gastronomie), saison culturelle du théâtre de Mende (musique, théâtre, cirque), les Jeudis de la Cathédrale (musique classique)…
Une soixantaine d’associations culturelles
Activités sportives :
De nombreux équipements : complexe sportif Jean-Jacques Delmas (stade gazon, courts de tennis, salles de musculation, salle de tir, salle de tennis de table, piste de BMX…), complexe sportif de la Vernède (gymnase, murs d’escalade intérieur et extérieur, salle de danse, dojo, boulodrome…), piscine Maurice Crespin (couverte et extérieure)…
Des événements : semi-marathon Marvejols-Mende, trail semi-urbain, festival des randonnées…
Près de cent associations sportives
Top 3 des choses à faire
En famille : gravir l’observatoire de l’aire de jeux du Mont Mimat ; se régaler de délicieux croquants de Mende ; découvrir la légende de Privat sur Baludik
100 % nature : admirer le lever de soleil depuis le Causse de Mende ; courir le long du Lot sur les berges aménagées ; observer le ciel étoilé dans une ville à faible pollution lumineuse
L’hiver : profiter, bien au chaud, de la saison culturelle du théâtre ; faire le tour du Lac de Charpal en raquettes ; se retrouver au coin du poêle autour d’une bière locale « La 48 »
S’il ne devait en rester qu’un…
Le conseil : pour rencontrer des Mendois de toujours ou récemment installés, rien de tel que de s’investir dans une association ! La plateforme Assoc’Action vous permettra de trouver facilement une association correspondant à vos centres d’intérêt, et d’entrer en contact avec ses membres.
L’incontournable : la Cathédrale, monumentale avec son clocher de l’évêque culminant à 84 mètres ! Il se souffle que sa cloche, détruite lors des Guerres de Religions, pouvait être entendue à 4 lieues à la ronde… soit environ 16 kilomètres !
La date : le 14 juillet 2005, Laurent Jalabert s’est imposé sur le Tour de France, aux termes de la belle grimpette de la Côte de la Croix Neuve, sur les hauteurs de Mende. Cette dernière a depuis été renommée « Montée Jalabert », et balisée pour permettre à tous les cyclistes de s’y confronter.
Le fun fact : c’est depuis l’aérodrome de Mende-Brenoux que Louis de Funès et Bourvil se sont envolés pour la scène finale de « La Grande Vadrouille » !