JollyClick, la startup lozérienne lance le 1er site de rencontre pour projets

Vendredi 16 septembre 2016, à l’hôtel Mercure du Sacré cœur Paris – La start-up lozérienne JollyClick a lancé la 1ère version de son site de rencontre pour projets.

jollyclick.com est un réseau social qui met en relation des personnes qui ont des projets, des personnes qui ont des compétences et des personnes qui veulent tout simplement aider. Une idée que le fondateur, Christopher des Fontaines (23 ans), a eu il y a maintenant 2 ans. Aujourd’hui, c’est une équipe de 5 personnes qui travaille à la réalisation de ce projet soutenu par Martin Hirsch et l’Institut de l’Engagement.

UNE INITIATIVE CIVIQUE ET SOLIDAIRE

Suite à son service civique chez Unis-Cité, Christopher des Fontaines a été désigné en 2013 lauréat de l’Institut de l’Engagement, présidé par Martin Hirsch, qui valorise les parcours des volontaires en Service civique.
Une sélection est établie chaque année pour permettre à des jeunes de 18 à 26 ans, en service civique, d’accomplir leurs projets. Ce sont des centaines de personnes qui depuis 2010 ont été soutenues et accompagnées par l’Institut de l’Engagement. JollyClick est depuis partenaire de l’Institut qui leur a accordé une bourse de 2 000€.

« Nous voulons faire clicker les gens. Nous voulons créer les équipes de demain. Nous voulons que les co-fondateurs de la nouvelle Croix-Rouge se soient rencontrés sur JollyClick. »

La plateforme est actuellement ouverte aux utilisateurs inscrits qui peuvent tester les fonctionnalités et faire leur retour.

Source :

http://lozere-developpement.com

Lien :

http://jollyclick.com

 

Lozère Développement était au Sportup Summit les 23 et 24 septembre 2016

L’organisation de Sportup Summit a démontré toute la capacité d’accompagnement de l’innovation de la La Région Occitanie / Pyrénées-Méditerranée au service de l’émergence de projets innovants dans les domaines du sport et des activités de pleine nature.

Sportup Summit organisé par l’incubateur LR Set c’est :

> La part belle faite aux territoires ruraux, tirés par l’excellence des centres de compétences régionaux.
> Les réseaux Synersud, Madeeli, Transferts LR, Rézopep fédérés pour l’occasion autour de Lr Set/
> Les rencontres avec nos homologues de la nouvelle grande région dans l’Aveyron, l’Ariège, le Lot…
> Et un projet qui entre en évaluation en Lozère… Bienvenue United nothing !

Merci Catherine Berger Bonnefon ! Merci Pierre Alzingre Visionari

Liens :

http://www.lrset.org/

http://www.sportupsummit.com/

Le programme Softplace livre ses conclusions et propose des outils pour anticiper l’avenir des lieux de travail partagés.

Mardi 13 septembre 2016, Lozère Développement et la MDECS étaient à Paris pour participer à la clôture d’un programme de recherche appliqué questionnant les nouveaux modes de travail et les nouveaux lieux associés.

 

A travers un partenariat avec la Fing et La Fabrique des Territoires Innovants, Lozère Développement et la Maison de l’emploi ont intégré en 2015 une réflexion nationale visant à accompagner l’émergence de tiers lieux en milieu rural. 4 Lieux ont été sélectionnés pour servir de terrain d’expérimentation aux équipes de chercheurs : La Lozère, Guéret (Creuse), Le Quartier Euromed à Marseille et le 19ème arrondissement de Paris.

A cette occasion, le réseau Solozère a participé et organisé plusieurs temps forts avec les partenaires nationaux :

Le Lancement : http://lozere-developpement.com/la-lozere-rejoint-le-programme-softplace-pour-reflechir-aux-lieux-de-travail-partage/

La phase d’étude de terrain : http://solozere.com/la-fabrique-des-territoires-innovant-en-lozere-dans-le-cadre-du-programme-softplace/

Les ateliers prospectifs : http://solozere.com/une-journee-dateliers-sur-les-lieux-de-travail-partages-a-polen-mende/

A l’issu de ce programme, plusieurs conclusions ont étés émises par la Fabrique des territoires Innovants sur les processus à l’œuvre dans les tiers lieux urbains et ruraux. Une différentiation spatiale forte émerge :

En contexte urbain :

– Plus le territoire est dense plus les tiers lieux ont tendance à se spécialiser et s’organiser autour de communauté de pratique et d’identités de travail fortes.

– La gouvernance de ces lieux est fortement différentiée en milieu urbain avec une émergence de lieux d’initiatives privés portés par les grands groupes ayant difficulté à se décloisonner, et des lieux portés par des collectifs, qui reposent souvent sur des affinités identitaires.

En contexte rural :

– La première dynamique qui pousse à l’appropriation des tiers lieux est avant tout la recherche du lien social.

– La recherche de rentabilité des lieux pousse une extrême hybridation. Les tiers lieux s’ouvrent à une multiplication de fonctions quel que soit le type de portage (public ou privé).

– L’émergence des lieux partagés passe aussi par un changement du regard des pouvoirs publics sur le « télécentre », un objet technique difficilement appropriable matériellement et symboliquement par les communautés d’usagers.

Face à ces constats différentiés, l’équipe Softplace considère que ces deux modèles extrêmes risquent d’aboutir à des impasses (lieu commun vs lieu hyper spécialisé). Au contraire, l’émergence des lieux partagés doit se situer entre ces deux extrêmes.

3 pistes de réflexions et outils sont proposées pour envisager les lieux dans leur extrême diversité :

 

1 : Il est nécessaire de construire des lieux agiles.

Le paradigme de fonctionnalités des lieux (1 lieu = une ou plusieurs fonctions) doit être bousculé pour, au contraire, imaginer les lieux dans leur capacité à muter (se déspécialiser puis se re spécialiser). La Fing parle de « lieux multiprises » et propose de les définir comme des socles auxquels se joignent des fonctions tierces. Par analogie au numérique, on évoque le fonctionnement des API et des plugins qui ajoutent des fonctionnalités aux logiciels conçus dans une optique de partage de données.

 

2 : Il est nécessaire de questionner la gouvernance et l’environnement juridique des lieux.

Les dynamiques d’appropriation des tiers lieux se confrontent souvent à des réglementations et modes de faire incompatibles avec la nécessité de déspécialiser, de mouvement ou de renversement de la gouvernance. Or, il apparait, dans le contexte des tiers lieux, qu’à chaque fois qu’un usage est inconfortable, en marge ou inadapté, il s’agit simplement de la manifestation explicite d’une innovation à l’œuvre.

Le rôle du garant du droit (propriétaire, élu…) est alors de réfléchir, non pas à contraindre l’usage, mais à redéfinir les règles pour permettre l’expression de l’innovation. On parle alors de construire des appariements.

 

3 : Il est nécessaire de définir des formats d’animation inédits.

Il est d’usage dans le vocabulaire des tiers lieux d’associer un référant animateur à chaque tiers-lieu en utilisant la métaphore de « concierge ». Or, dans un contexte d’appropriation plurielle des lieux, un animateur ne peut répondre à l’ensemble des besoins d’un lieu ou d’un public. L’expédition softplace propose d’imaginer des lieux et des animateurs structurés en réseau et des outils d’articulation permettant un travail efficace. Cette posture clairement inspirée de l’organisation du réseau solozère démontre l’innovation du partenariat Lozère Développement / MDECS pour penser la relation entre les tiers-lieux et les territoires.

 

Liens :

Rapport final Softplace :

http://fr.slideshare.net/slidesharefing/softplace-une-exploration-des-cosystmes-de-lieux-hybrides-livret-final

Cahier d’exploration :

http://fr.slideshare.net/slidesharefing/softplace-cahier-dexploration-mai16

Les scénarios extrêmes :

http://reseau.fing.org/file/view/165306/softplace-scenarios-extremes-version-initiale

 

BLOOM’UP : les lauréats s’installent dans les locaux d’AGT à Mende

L’entreprise AGT et Lozère Développement vont proposer un programme de mentoring et d’accélération à deux entreprises innovantes.

Après une période d’appel à projets de 3 mois, au printemps 2016, deux entreprises ont été identifiées pour suivre le programme Bloom’up. Elles ont été accueillies à Mende le 21 septembre, par Laurent DUBERNAIS, PDG d’AGT, et Laurent SUAU, Vice-Président du Conseil Départemental de la Lozère, Président de la Communauté de Communes Cœur de Lozère et Maire de Mende.
Originalité de l’opération : la Communauté de Communes va mettre à disposition un logement pour faciliter le séjour de l’équipe lauréate à Mende pendant 5 mois.
La première entreprise lauréate est une startup de la région de Rouen, en Normandie, créée il y a un an. FUSYON développe une solution logicielle, en SaaS, pour organiser le fonctionnement des services informatiques. Basée sur le big-data, le machine-learning, à travers une Intelligence Artificielle prédictive, elle permet de prévenir les dysfonctionnements et d’obtenir des indicateurs décisionnels adaptés.
La deuxième entreprise lauréate est déjà lozérienne : HOBBYSTREET participera aux séminaires avec les équipes d’AGT et de FUSYON et bénéficiera également du mentoring des équipes dirigeantes d’AGT. Elle est déjà accompagnée par Lozère Développement.

Qu’est-ce que Bloom’up ?

Ce programme collaboratif non marchand, teinté d’agilité, fait figure d’électron libre dans l’univers encombré du capital-innovation.

logoInstallée au parc technologique de Mende, à côté du Pôle Lozérien d’Économie Numérique – POLeN – AGT édite depuis 18 ans des solutions de pilotage et d’aide à la décision pour améliorer la performance des organisations. L’entreprise commercialise ses solutions auprès d’une cinquantaine d’enseignes, généralement organisées en réseau. Plus de 16 000 points de vente dans le monde sont concernés par l’offre de l’entreprise lozérienne. Le siège social et l’essentiel de l’équipe technique et administrative sont situés à Mende, mais l’entreprise dispose de bureaux commerciaux en région parisienne, au Québec et aux Etats-Unis.

C’est justement pour valoriser et renforcer cette organisation en réseau que le dirigeant d’AGT, Laurent DUBERNAIS, a proposé à Lozère Développement de mutualiser des moyens pour promouvoir la Lozère comme destination dédiée à la performance des jeunes entreprises innovantes de la filière numérique. L’objectif de l’entrepreneur lozérien est de favoriser la collaboration et l’innovation entre une entreprise mature, en développement à l’international, et de jeunes startups en devenir. Le partenariat proposé est gagnant-gagnant, car chacun aura intérêt à la réussite de tous.

Pour Sophie PANTEL, Présidente de Lozère Développement et du Conseil Départemental : « Le Département, avec à ses côtés Lozère Développement, est dans son rôle quand il favorise l’environnement d’une entreprise qui se développe, attire en Lozère de nouveaux talents qu’il faut accueillir dans de bonnes conditions. Cette démarche collaborative, initiée par AGT avec l’appui de l’agence de développement, renforce l’attractivité de la Lozère dans le numérique ».

BLOOM’UP est donc un partenariat unique entre une PME et un territoire qui souhaitent s’ouvrir ensemble à plus d’innovation en renforçant des projets tiers.

D’une part AGT maitrise un socle technologique particulièrement adapté aux solutions informatiques professionnelles accessibles à distance (Software as a service – Saas). De nombreuses jeunes entreprises innovantes pourraient accélérer leur accès au marché en collaborant avec les équipes techniques de l’entreprise. D’autre part AGT se caractérise par la spécificité de ses débouchés internationaux dans le secteur du retail.

Pour Laurent DUBERNAIS, Dirigeant d’AGT : « au travers du programme de mentoring et d’accélération Bloomup , AGT cherche à s’enrichir de la fraicheur innovante de jeunes entreprises, tout en faisant bénéficier de l’expérience et du savoir-faire de ses collaborateurs, et de son réseau »

Pour AGT : « Attirer les talents et mixer les cultures »

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agtLaurent Dubernais, dirigeant d’AGT, explique son objectif : « Ce programme répond à deux problématiques qui sont des freins à la croissance : nous avons du mal à attirer des gens de talent en Lozère et je voulais aussi exposer mes propres collaborateurs – qui ont souvent 15 ou 20 ans passés chez AGT  – aux idées et fonctionnement des jeunes start-up. Intégrer ensemble des enjeux business et technologique d’aujourd’hui. Très concrètement, c’est co-construire un programme d’actions PME/start-up qui soit bénéfique à la fois aux collaborateurs et à l’entreprise mendoise comme aux jeunes entrepreneurs. »

Bloom’up vise des start-up orientées BtoB, proposant un service ou produit en mode SaaS, et en phase de démarrage. Elles vont échanger avec les managers expérimentés d’AGT sur les aspects technologiques, commerciaux, mais aussi l’internationalisation. Car AGT, qui emploie 32 personnes, a des bureaux non seulement à Mende, mais aussi à Paris et Montréal.

 

Chacun apporte sa pierre : AGT recevra – au moins trois mois – deux start-up dans ses locaux du parc technologique de Mende, près de la pépinière d’entreprises Polen. L’éditeur mettra à disposition un niveau complet, en open space et avec fibre optique, et coordonnera le programme « d’animation et de partage » conçu par Creative Meeting. L’agence Lozère Développement apportera l’accès aux écosystèmes French Tech de Montpellier et Toulouse, aux dispositifs locaux d’amorçage et aux clusters régionaux.

 

Bloom’up est un programme d’accélération et mentoring original que l’éditeur mendois AGT Groupe, spécialisé depuis 20 ans dans les solutions de pilotage et d’animation des réseaux commerciaux indépendants, a mis sur pied avec l’agence de développement économique Lozère Développement, Creative Meeting et la communauté de communes Cœur de Lozère.

HOBBYSTREET

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Startup fondée par Sandrine Planchon.

hobbyHobbyStreet propose de mettre en relation des particuliers et des commerçants ou artisans de quartier pour proposer leur savoir-faire dans tous domaines – couture, plomberie, maquillage, huiles essentielles, etc…- directement dans leur magasin ou atelier. La startup a déjà expérimenté son concept auprès de 200 participants environ en Lozère, sur une vingtaine d’ateliers. Depuis HobbySreet a obtenu une bourse FrenchTech de la BPI et lance ainsi son offre sur toute la France.

D’où est venue l’idée ?

Je suis d’une nature curieuse. J’ai toujours adoré toucher à tout, apprendre les bases de la pâtisserie pour assouvir ma gourmandise, la peinture pour avoir la chance de faire des expos, l’herboristerie pour savoir me soigner par les plantes ou encore et la décoration pour aider les copines à refaire leur intérieur ! Aujourd’hui c’est l’âge d’or du web, beaucoup de choses deviennent possibles et c’est aussi le retour en force du DIY. Parallèlement, les professionnels du retail doivent et cherchent à se réinventer pour proposer de nouvelles expériences à leurs clients. J’ai eu envie de créer un lien entre tout ça, l’idée des savoirs faire à emporter et d’ HobbyStreet était né.

FUSYON

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fusyonLa société Fusyon a été créée le 10 novembre 2015 par Xavier Quesnot et Florent Bouyer. Elle propose aux entreprises des solutions basées sur l’innovation numérique. Fusyon est constitué de 4 associés, tous issus du domaine de l’informatique et cumulant plus de 30 ans d’expériences. Actuellement, Fusyon est en phase d’expansion au national et souhaite distribuer sa solution Horizon.

Horizon est le fruit direct de l’expérience de terrain. Ce logiciel distribué en mode SaaS, se veut être temps réel et réactif. Le but est de fournir un outil efficace et innovant de gestion et de reporting pour les services informatiques.

Ce que nous attendons de Bloom’up ?

 Nous attendons au travers du programme Bloom’up un partenariat et une réelle notion de tutorat, afin de compléter, dans la mesure du possible, ces points principaux qui actuellement sont cruciaux pour notre développement. Nous recherchons aussi à développer un réseau de partenaires et collaborateurs au sein de la région Languedoc-Roussillon-Midi-Pyrénées, pour à terme pouvoir y déployer notre équipe technique car notre CTO (Directeur technique) souhaite s’installer à Mende.

 

Partenariat :

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L’entreprise BFP présente ses nouvelles ambitions aux élus du territoire

Olivier PRORIOL et André BEAUFILS sont revenus sur l’histoire de cette réussite lozérienne qui les pousse aujourd’hui encore à investir et à renforcer leurs partenariats industriels.

La Présidente de Lozère Développement et du Conseil départemental, Sophie PANTEL, était entourée de la Conseillère Départementale du Canton de Marvejols et Vice-Présidente de la Communauté de Communes du Gévaudan, Patricia BREMOND, du Président de la Communauté de Communes et Maire de Montrodat, Rémi ANDRE pour répondre à l’invitation des dirigeants de BFP Electronique à découvrir leur activité, leur équipe et surtout, leurs projets.

La Chambre de Commerce et d’Industrie, qui sera amenée à accompagner l’entreprise, était associée à cette rencontre.  Elle était représentée par Francis PEYRE, Vice-Président, et Éric FERRIERE, Directeur Général.

L’originalité de BFP Electronique en fait aujourd’hui un acteur majeur du secteur des dispositifs médicaux. Intégrant depuis sa création, il y a 20 ans, toute la chaine produit, de la conception en bureau d’études à la commercialisation, l’entreprise se distingue aussi par la rigueur de son organisation, reconnue par plusieurs certifications. Elle a notamment passé le cap du durcissement récent des contrôles dans le domaine des soins du corps grâce au recrutement d’un biologiste au sein de son bureau d’études.

Historiquement positionnée sur le marché des pistolets de mésothérapie, qui ont fait son succès à l’international, BFP a renforcé ses compétences et maitrise aujourd’hui d’autres technologies de pointe (luminothérapie, lipocryolyse, carboxythérapie). C’est donc naturellement en direction des applications médicales que l’entreprise a souhaité renforcer ses partenariats. Un rapprochement est aujourd’hui en cours avec Photon Research, entreprise de recherche et développement, créée en 2010 par Guillaume MOREAU, pour sécuriser l’activité d’une autre société qu’il dirige, Physioquanta, dans des domaines de médecines intégratives.

Ce rapprochement, qui va donner lieu à l’implantation de Photon Research en Lozère, va se traduite par la construction d’un nouveau bâtiment, mitoyen à celui de BFP Electronique. Plus d’une dizaine d’emplois pourrait être rapidement créée.

Les participants à la visite du 26 juillet ont, par ailleurs, longuement échangé sur le raccordement à la fibre optique du futur ensemble. Le schéma de déploiement,  qu’élabore actuellement le Conseil Départemental, devrait permettre d’améliorer une connexion anormalement mauvaise dans ce secteur.

Ils ont convenu de réunir rapidement un groupe de travail pour que les collectivités locales, le Département, la Région, et l’Etat à travers la BPI, puissent soutenir efficacement ce projet.

 

 

Source : lozere-developpement.com

 

« Ciel mon Radis ! » en Lozère pour étudier la production en série de ses potagers de bureau.

En juin dernier, Charles de la Boulaye et Romain Balmary, les lauréats de la première édition de la « Start-up est dans le pré – Lozère Nouvelle vie », étaient présents en Lozère.  Depuis le début de son aventure, l’équipe de « Ciel Mon Radis ! » travaille en étroite collaboration avec Christophe Chabalier, dirigeant de l’entreprise « Atelier Design Bois et Dérivés », à Mende, pour la conception et la production de meubles pour potagers d’entreprise.

Une équipe renforcée, de nouveaux clients, et de nombreuses perspectives

Deux ans après la production du premier prototype,  la réalisation d’une vingtaine de meubles, et quelques ajustements, les deux partenaires sont arrivés à une version finale qui va permettre de produire les meubles en série, tout en conservant la qualité de ce produit conçu en hêtre de forêt française et dont l’assemblage se fait sans colle, ni vis. L’équipe de la startup, en plein décollage, s’est étoffée et de nouveaux clients prestigieux ont été conquis (PricewaterhouseCoopers, L’Oréal,…). Il est à présent crucial de parvenir à optimiser la production pour répondre à la demande et renforcer le modèle économique.

Un nouveau site internet, réalisé également en Lozère !  

« Ciel Mon Radis ! » vient par ailleurs de mettre en ligne son nouveau site internet réalisé par l’agence web lozérienne Codivore, rencontrée alors qu’elle était en préfiguration lors de l’édition 2015 de la « Start’up est dans le pré ». Charles et Romain, en tant que Lauréats du premier concours, ont en effet coaché l’équipe de codeurs lors de la seconde édition. Un clin d’œil représentatif de cet évènement atypique, qui privilégie la rencontre,  l’échange,  la connaissance de soi et des autres. Le site de « Ciel Mon Radis ! » : http://www.cielmonradis.com/

La biscuiterie KOCOLO&ZAZA s’installe à Marvejols

« Bienvenue, et merci ! » : la Présidente du Conseil départemental et de Lozère développement visitait, mardi 28 juin, les nouveaux locaux de l’entreprise.

Pour cette visite, Sophie PANTEL était accompagnée de Patricia BREMOND et Bernard DURAND, Conseillers départementaux du canton de Marvejols, de Marcel MERLE, Maire de Marvejols, de Rémi ANDRE, Président de la Communauté de Communes du Gévaudan, et de Thierry JULIER, Président de la Chambre de Commerce et d’industrie de la Lozère.

Franck et Isabelle EUGENE sont accompagnés depuis plusieurs mois par Lozère Développement, dans le déplacement de leur entreprise en Lozère. Depuis 6 ans, ils développent une activité de biscuiterie BIO dans le Gard, mais leur atelier a été touché par l’incendie d’un local mitoyen. A la recherche d’un nouveau site et d’une structure d’accompagnement pour engager un projet stratégique de nouveaux investissements, ils se sont tournés vers l’agence de développement économique qui a identifié l’atelier laissé vacant par l’ancienne biscuiterie du Gévaudan.

 

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Passionnés de pâtisserie, mais également engagés dans la promotion d’une alimentation saine et respectueuse de l’environnement, les deux fondateurs ont mis au point une gamme complète de produits simples, sans adjuvants, privilégiant un approvisionnement local.

Lozère Développement a orienté KOCOLO&ZAZA vers les fournisseurs lozériens. La farine, qui représente près de 60% des achats de l’entreprise, est désormais achetée au Moulin de la Colagne, dont la qualité de la gamme BIO a contribué à la décision d’implantation en Lozère. Des collaborations sont également envisagées avec d’autres acteurs locaux de l’agroalimentaire, positionnés sur les marchés BIO, comme la distillerie ESSENCIAGUA.

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Franc et Isabelle EUGENE ont présenté leurs projets d’investissement. À la faveur de ce déplacement en Lozère, l’entreprise accroit fortement sa capacité de production et envisage d’atteindre 350 000 € de chiffres d’affaires et 5 ETP dans deux ans.

Une nouvelle marque à l’identité lozérienne va être lancée et si le prévisionnel est respecté, des locaux plus grands, seront nécessaires dans un an.

Liens et contacts :

http://www.kocolo-zaza.com/

ontact@kocolo-zaza.com

Tel : +33 672 113 748

Source :

http://lozere-developpement.com

 

Assemblée Générale de Lozère Développement – 27 juin 2016

Lozère Développement réunissait son Assemblée générale le 27 juin 2016 pour dresser le bilan de son activité en 2015 et présenter un point d’étape des actions engagées en 2016.

Après avoir démontré qu’un outil souple et réactif permet de s’adapter aux besoins d’ingénierie en développement des acteurs du territoire, la Présidente de l’agence, Sophie PANTEL, également Présidente du Conseil départemental de la Lozère, a expliqué les évolutions qu’elle a souhaité apporter à cet outil en 2015 pour l’adapter à un environnement changeant.

L’adoption de la loi sur la Nouvelle Organisation Territoriale de la République – NOTRe – en août 2015, demande en effet à l’agence de poursuivre sa transformation en 2016.

Le bilan très positif de son action démontre la nécessité pour les territoires ruraux d’être dotés d’outils d’ingénierie dédiés au développement des entreprises.

1/ En 2015, Lozère Développement a confirmé son intégration dans des stratégies régionales de développement.

L’association s’est inscrite en 2015 dans les démarches régionales engagées pour le développement économique des territoires.

  • Eligibilité au Service d’Intérêt Economique Général – SIEG – « Accompagnement à la création d’entreprise » mis en place par la Région, notamment pour que les membres du réseau Synersud bénéficient de financements européens et régionaux pour cette activité à caractère économique.
  • Mobilisation du FEDER au titre de l’Axe « Entrepreneuriat et Innovation » de la Stratégie de spécialisation intelligente – 3S- de la Région.

Ces dispositifs permettent à Lozère Développement d’être financée à hauteur de 46% par des ressources extérieures au département, principalement les Fonds Européens.  La reconnaissance de l’action de l’agence s’est également renforcée dans les réseaux régionaux (Synersud, Invest Sud de France, Transferts LR, URSCOP,…).

2/ En 2015, l’organisation de l’agence a évolué pour tenir compte d’un nouvel environnement réglementaire

  • Un plan d’action articulé en trois axes pour organiser des natures d’intervention très différentes.

Axe 1 – Des missions de développement territorial.

Il s’agit de missions d’intérêt général confiées par le Département. Lozère Développement joue un rôle majeur de coordination des acteurs locaux du développement économique dans les projets d’implantation d’entreprise en Lozère. L’agence est également un acteur de l’attractivité territoriale. Ses actions de prospection d’investisseurs, d’entrepreneurs et d’innovateurs passent par de nombreux canaux. Elle met cette expertise au services des territoires.  

Axe 2 – Accompagnement de projets

L’accompagnement des projets détectés est savoir-faire partagé avec un réseau local, notamment les Chambres Consulaires avec lesquelles Lozère Développement collabore dans tous les cas. Cette complémentarité est exemplaire.  

Lozère Développement se charge de l’accompagnement des projets exogènes à potentiel et des projets de création d’entreprise innovante. L’agence anime également la pépinière d’entreprises innovantes POLeN et le réseau des résidences d’entreprises RELIER.

  • Une ouverture plus large aux acteurs socio-économiques

Le Conseil d’Administration de l’agence, renouvelé en 2015, a souhaité mettre en place d’un Comité Exploration, Emergence, Evaluation – C3E. Ce comité est co-présidé par le Département et les Chambres Consulaires.
Pour le Département, Laurent SUAU et Patricia BREMOND sont chargés de son suivi.

Ce comité est aussi le fruit de la collaboration, en 2015, avec la Fabrique des Territoires Innovants qui contribue à renouveler les méthodes de travail de Lozère Développement, en les rendant plus participatives.

  • La mise en place de conventions avec les Communautés de Communes

Cette démarche permet de renforcer l’ancrage des projets dans les territoires par une meilleure collaboration en amont de leur détection. Elle préfigure la future gouvernance de l’agence qui devra donner une part plus importante aux communautés de communes. En 2015, la Communauté de Communes du Gévaudan a été la première à signer cette convention avec l’agence. La démarche sera poursuivie en 2017 dans un nouveau cadre partenarial élargi à la Région.

3/ Un bilan qui confirme l’efficacité de Lozère Développement sur son cœur de métier

L’agence se distingue par la multitude des initiatives qu’elle lance ou qu’elle accompagnement dans le domaine du numérique, de l’innovation et de l’implantation d’entreprise.

En 2015, 48 projets d’entreprise ont été évalués dont 12 nouveaux sont entrés en accompagnement.

31 projets ont été accompagnés. Soit un total de 67 projets travaillés dans l’année.

Ces entreprises et ces projets représentaient 67 emplois au 31 décembre 2015, et potentiellement 175 emplois à 3 ans.

Ces projets sont d’une très grande diversité.

Il peut s’agir de startups très innovantes, comme AETHERIS, qui a été en 2015 le premier projet lozérien lauréat du concours national de l’innovation porté par le Ministère de la Recherche et BPI-Innovation (concours I-Lab).

Il s’agit aussi, à l’opposé, de projets industriels à potentiel, comme le fût FRANCE RESILLE et comme l’a été ESSENCIAGUA en 2015, dont le nouveau bâtiment s’achève en ce mois de juin 2016.

Entre ces deux types de projets particuliers et rares, d’autres projets économiques plus conventionnels illustrent la capacité de l’agence à accompagner les mutations économiques auxquelles les territoires ruraux doivent se confronter, au même titre que les métropoles.

Source : http://lozere-developpement.com

 

 

Un nouveau slogan pour la Lozère

Le Département de la Lozère souhaite renforcer durablement l’attractivité de notre département. Les atouts et les qualités multiples de la Lozère méritent d’être valorisés et reconnus.

Cette volonté s’inscrit dans la continuité des échanges ouverts avec tous les acteurs du territoire (monde économique, institutionnels, tête de réseau, prestataires touristiques, etc.) au cours des travaux (séminaire et ateliers) sur le positionnement marketing de la destination Lozère, en octobre 2015. Ces derniers ont débouché sur la nécessité de se doter d’un outil commun : un nouveau SLOGAN pour la Lozère.

L’enjeu est simple : renouveler l’image de notre département afin d’attirer de nouvelles populations (habitants, touristes, entrepreneurs, etc.).

L’adhésion et l’implication de tous sont nécessaires à la réussite de ce projet collectif qui se veut participatif.

Tous les acteurs de notre territoire (citoyens, élus, professionnels du tourisme, personnalités du monde économique, agriculteurs, artisans, commerçants, etc.) sont ainsi conviés à une réunion publique ce 11 mai 2016 à l’Amphithéâtre de l’Antenne universitaire (av. Foch à Mende).

Pour vous inscrire à la réunion publique : formulaire d’inscription 

5 projets agroalimentaires présentés aux partenaires financiers locaux

Patricia BREMOND et Laurent SUAU, administrateurs de Lozère Développement, ont accueilli à POLeN les entreprises accompagnées par l’agence, pour une présentation de projets aux banques.

Il est rare que les calendriers et les thématiques de plusieurs projets d’investissement en Lozère coïncident pour permettre une telle rencontre professionnelle. L’équipe de Lozère Développement a pu organiser, le 28 avril, une journée de travail entière autour de 5 entreprises de l’agroalimentaire, qu’elle accompagne pour une implantation dans le département.

Les projets les plus avancés sont déjà ancrés en Lozère, mais d’autres pourraient rapidement voir le jour.

ESSENCIAGUA, distillateur de plantes BIO produira des huiles essentielles à La Tieule à partir du mois de juillet et doit boucler le plan de financement de ses équipements productifs. L’entreprise DO.YEN est installée depuis janvier à Mende où elle produit des beurres haut-de-gamme. Trois autres projets en recherche de financement (une confiserie, une biscuiterie et une fromagerie) ont également été détaillés auprès des établissements bancaires qui avaient accepté de jouer le jeu d’une audition commune. C’est le cas de la laiterie LA LEMANCE, installée à Montayral (47), qui a annoncé la construction d’une nouvelle unité de fabrication de fromage de chèvre bio en Lozère, après l’achèvement de la conversion bio de plusieurs exploitations locales.

Les dirigeants d’entreprise ont apprécié, d’une part, le gain de temps occasionné et d’autre part l’occasion donnée d’échanger entre eux sur de futures collaborations.

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Tous sont engagés dans des productions d’excellence qui correspondent parfaitement à l’image que véhicule la Lozère : des produits « bons et sains » et souvent BIO. Cette thématique de développement est prioritaire pour les membres de Lozère Développement.

De tailles variées (CA de 180 k€ à 7 000k€), les entreprises participantes sont toutes en forte croissance. Le volume consolidé des investissements dépasse 5M€, hors immobilier, et 30 emplois à deux ans.

La Banque de France et les trois chambres consulaires, également présentes, étaient à l’écoute des dirigeants qui ont exprimé leurs besoins d’accompagnement et de proximité. La présence de deux distributeurs locaux, très impliqués aux côtés de Lozère Développement dans le développement économique du territoire (Jean-Michel BRUN, Directeur d’Hyper U et Pierre BONNEFOY de Magne Distribution), a également été fort appréciée.

Tous les projets ont un point commun : leur attachement à Lozère et leur volonté de privilégier des partenariats locaux pour donner plus de valeur ajoutée à leurs produits et mutualiser leurs stratégies commerciales pour atteindre, ensemble, des marchés nouveaux.

Source :

http://lozere-developpement.com

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