> Lieu de vie : Le Bruel, 48230 ESCLANEDES
> Date d’arrivée en Lozère : Juillet 2016
> Provenance géographique : Paris
> Pourquoi la Lozère ?
J’ai grandi en Lozère jusqu’au lycée et mon conjoint travaille sur Mende. J’étais également à la recherche d’un cadre idéal de vie pour élever mes enfants !
> Processus d’installation
Précédemment, je travaillais pour le Conseil national de l’Ordre des médecins (Paris) comme Responsable juridique des inscriptions des médecins.
Je suis tombée enceinte et j’ai rejoint mon conjoint qui travaillait alors sur Mende.
A la fin de mon congé maternité, j’ai commencé une nouvelle activité en août 2017 en télétravail comme Resource Manager pour Cooptalis, une société de conseil et d’accompagnement des projets de mobilité internationale (notamment recrutement de professionnels de santé).
Cooptalis (http://www.cooptalis.com/fr/)
> Activité :
Graphiste indépendante
> Lieu de vie :
Masméjean, commune du Pont de Montvert, Sud Mont-Lozère
> Date d’arrivée en Lozère :
janvier 2015
> Provenance géographique :
Paris, puis Agen
> Pourquoi la Lozère ?
Le travail et la vie parisienne ne lui convenaient plus. Julie Mercey décide d’abord de partir à Agen où elle a exercé dans une couveuse d’entreprise. Puis elle rencontre sa future femme qui travaille en Lozère et décide donc de la suivre et de venir habiter avec elle, au Pont-de-Montvert.
Julie suit une formation diplômante de niveau III « Titre Entrepreneur de la Petite Entreprise » (TEPE, équivalent à un BAC+2) de 3 mois proposée par le Pôle Emploi de Mende. C’est lors de cette formation qu’elle entend parler de la Coopérative d’Activité et d’Emploi (CAE) « Mine de Talents » . Elle les contacte et ce statut d’entrepreneuse salariée correspond parfaitement à ses besoins.
À 38 ans , Julie exerce désormais depuis chez elle, sur la zone d’activité de Masméjean où elle a fait construire sa maison et son bureau. Elle garde une clientèle parisienne et développe de plus en plus son portefeuille de clients locaux.
Site internet : www.juliemercey.com
Facebook : https://www.facebook.com/julie.mercey
Après cinquante ans d’activité, les sœurs Paradis qui tenaient l’auberge située au Col de Montmirat ont pris une retraite bien méritée et se sont installées au village de Saint Etienne du Valdonnez.
C’est par le dispositif RELANCE, membre du réseau Lozère Nouvelle Vie, que Jean-Patrick Bonaldi et Christine Roulet ont su que l’auberge était à reprendre. Amoureux de la Lozère, ce couple de restaurateur venu de Bagnols-sur-Cèze est immédiatement tombé sous le charme de ce lieu. Après avoir tenu pendant 13 ans un restaurant semi-gastronomique dans la Drôme, ces quinquagénaires avaient envie de quelque chose de plus simple et convivial. Ils ont démarré sur les chapeaux de roue fin juillet en pleine saison estivale et proposent midi et soir un menu du jour et une carte qui évolueront au fils des saisons. Leur activité sera complétée par de l’accueil en chambres d’hôtes.
Venez les rencontrer, vous verrez comme ils sont heureux d’être là et de vous faire partager leur passion pour la cuisine !
Date d’arrivée en Lozère : Août 2017
Provenance géographique : Nord de la France, de Marcq-en-Barœul
Pourquoi la Lozère ?
Il était venu en vacances dans les Gorges du Tarn étant enfant et avait la Lozère toujours dans un coin de la tête. Un voisin dans le Nord Pas de Calais, lozérien d’origine, parlait beaucoup de la Lozère. Cela lui a donné envie d’y revenir et de s’y installer.
Processus d’installation :
Pascal a eu un premier contact avec Thomas Itier de Lozère Développement en avril 2017 pour la recherche d’un local pour son projet. Il est arrivé en août 2017 à Langogne pour faire avancer son projet : créer une entreprise de plateforme téléphonique ou trouver un emploi salarié avec comme objectif de changer de vie. Il rencontre alors Pôle Emploi de Mende, l’AIPPH, la CCI Lozère, l’association Terres de Vie en Lozère qui lui apportent différentes informations. Les personnes rencontrées ont apporté un accueil chaleureux et sont disponibles. Cela lui a permis d’y voir plus clair sur son projet. En janvier 2018, il répond à une offre d’emploi de la MNT où il décroche un poste en CDI en avril 2018 à Mende.
Aujourd’hui, il gère l’agence lozérienne de la MNT et habite à Mende. Il peut tout faire à pied et il est dans son élément.
Date d’arrivée en Lozère : Août 2017
Provenance géographique : Haute Savoie
Pourquoi la Lozère ? Ils sont venus en vacances sur le département. Ils ont aimé. Ils sont revenus s’y installer
Processus d’installation :
Laurent et Sandrine se sont installés au Bleymard mi novembre 2017 avec la reprise des chalets du Goulet, hébergement touristique qui se situe sur le chemin de Stevenson.
L’idée de changer de vie est apparue en 2014. Ils ne voulaient plus travailler pour quelqu’un. Faire autre chose mais quoi ? Telle est la question qu’ils se sont posés. Ils souhaitaient effectuer une activité à échelle humaine, recevoir des gens, être à l’aise et indépendant. C’est pourquoi ils se sont orientés vers une activité de gîte, camping dans une zone allant dans un premier temps de la région bordelaise aux Hautes Alpes en excluant la zone littoral. Puis après plusieurs visites sur différents territoires, les premières visites en Lozère ont eu lieu à partir de décembre 2016. Le coup de cœur pour les chalets du Goulet, sous un jour pluvieux, est arrivé au printemps 2017.
Ils ont participé à la session accueil organisé par les territoires lozériens en partenariat avec le réseau accueil Lozère Nouvelle Vie fin juin 2017. Cela a permis de voir l’implication et l’envie du département d’accueillir du monde. « Nous ne sommes pas un numéro, on t’écoute et on s’intéresse à ce que tu fais ». La proximité des élus a été un plus pour notre installation en Lozère. Pascal Beaury et Alain Veyrunes les ont aidés à trouver un logement sur Belvezet en attendant l’installation sur les chalets du Goulet qui a eu lieu fin novembre 2017. Les premiers clients sont arrivés pour le nouvel an avec un groupe d’une trentaine de personnes.
En savoir plus :
Leschaletsdugoulet.com
https://www.facebook.com/leschaletsdugoulet/
@leschaletsdugoulet
04 66 45 85 77
Quand Alban Tiberghien, un (ex-)citadin spécialiste des usages numériques, rencontre la ruralité, cela donne un concept détonnant et unique : le « Tiers-Truck », un camion aménagé qui sillonne nos routes pour former les habitants.
On imagine souvent derrière le « geek » quelqu’un qui reste scotché jour et nuit sur son ordinateur ou qui ne décroche pas le nez de son smartphone. Alban Tiberghien n’a rien à voir avec cette caricature. Lui se dit « geek social ». « Geek parce que je suis un passionné et que c’est la définition première du mot ; social parce que le numérique n’est qu’un outil pour récréer du lien social », explique le développeur de logiciels.
Quel choc des cultures à son arrivée en Lozère à l’été 2014 ! Ce Ch‘timi de Lille de 31 ans, pur citadin, féru de « coworking » et de médiation numérique, découvre la ruralité. Une rencontre liée à la Maison de l’Emploi qui a tout de suite adhéré au « Tiers-Truck ». Ce concept s’inspire du bibliobus et des commerçants itinérants qui sillonnent les villages. Alban parle même d’un « service numérique de proximité » avec un leitmotiv : « le numérique pour tous et partout ».
Autour d’un café
«Il y a deux ans, certains m’ont dit que mes histoires de citadin n’étaient pas adaptées à la ruralité. Je me suis donc installé en Lozère pour vérifier par moi-même », raconte Alban. En quelques mois, il a déjà réalisé « deux tours de Lozère » et l’accueil est toujours aussi bon. Après une participation au concours « La Start-up est dans le Pré » organisé par Lozère Développement, ce jeune entrepreneur va systématiser sa présence sur le territoire en se calant sur le rythme des marchés locaux. Ce » couteau suisse » du numérique répond à toutes les questions (comment envoyer un mail ? faire un skype avec ses petits enfants ? protéger sa vie privée sur Internet ?, etc.) et initie tout public aux usages du web à travers ses formations dans son «Tiers-Truck». Cet hiver, Alban Tiberghien s’est aussi sédentarisé en devenant le formateur principal de Còdi n Camp, une école innovante qui offre gratuitement une formation intensive au métier de développeur web à ceux qui veulent se trouver une nouvelle voie.
http://tierstruck.org/fr/alban-tiberghien/
Quelques dates
14 juillet 1984 – naît à Lille.
2008 – décroche un Master « Recherche en Informatique» à l’Université Lille I.
2009 – devient développeur indépendant de logiciels sur mesures
2010 – crée à Lille La Coroutine, un espace de coworking où 25 professionnels indépendants viennent travailler quotidiennement pour briser leur isolement professionnel et « travailler autrement ».
Août 2014 – arrive en Lozère où il transpose tous ses projets citadins à la ruralité (télétravail, tiers-lieu, formations, médiation numérique, etc)
Février 2015 – lance son « Tiers-Truck » sur les routes de Lozère
Printemps 2016 – débute une nouvelle tournée sur les marchés locaux
Date d’arrivée en Lozère : 2015
Provenance géographique : Vaucluse (Avignon)
Pourquoi la Lozère ?
Après avoir tenu une entreprise de taille relativement importante et ayant eu de nombreuses expériences professionnelles enrichissantes, mais très prenantes, Roland a souhaité changer de cadre de vie. Il cherche alors une affaire dans une petite ville possédant un cadre de vie remarquable, le tout proche d’Avignon où il garde encore des attaches familiales. Une opportunité se présente à Florac et, connaissant déjà le coin et son environnement exceptionnel, il a tout de suite dit oui !
Processus d’installation
Il est passé par des cabinets privés pour rechercher l’offre et des agences immobilières pour se loger. Une fois sur place, il a voulu s’investir pour soutenir localement l’économie et les chefs d’entreprises. Roland est désormais le très actif président de l’Association des commerçants de Florac et s’implique au niveau de la CCI Lozère.
C’est la proximité avec l’école de musique qui a favorisé la venue de Rémy Dumas à Mende. Sollicité par un professeur de musique, l’Ardéchois a en effet installé son atelier de luthier, au bas de la rue Droite et offre tout un service de proximité aux amateurs de musique.
» Au départ, j’ai posé mes valises à Saint Laurent de Trèves pour suivre ma compagne qui venait d’être embauchée au PNC comme architecte. Nous sommes tous les deux issus d’un milieu rural et la Lozère nous correspond bien avec ses grands espaces sauvages qui permettent de pratiquer tout un tas d’activités nature telles que le parapente « .
Rémy Dumas a fait une école de lutherie, en Belgique, car en France les places sont chères puis il s’est spécialisé dans les instruments spécifiques du quatuor, le violon, l’alto, le violoncelle et la contrebasse. » Et aussi la viole de gambe « , précise-t-il. Avant d’ajouter : » Le violon m’a toujours fasciné. Je le trouve beau, un peu mystérieux « .
Guilhem Roux et sa compagne Élise se sont installés en 2015, dans un territoire reconnu patrimoine mondial de l’humanité par l’UNESCO, pour ses paysages agropastoraux.
Leur projet de ferme-école est basé sur 3 volets : élevage ovin en plein air, atelier maraîchage avec vente de produits transformés, et de l’agrotourisme.
Guilhem était auparavant enseignant-chercheur à l’Université ; elle était artiste-peintre. Basés sur un terrain familial à Vébron en Lozère, ils abandonnent leur vie citadine, et décident de vivre plus proche de la nature.
Pour mener à bien leur projet, l’ALODEAR qui les accompagne, les oriente vers l’Airdie pour
consolider leur plan de financement. En effet, bénéficiaires du RSA et en pleine reconversion professionnelle, ils ne disposent pas des fonds nécessaires à la création de leur activité.
L’Airdie leur octroie un prêt d’honneur dédié à l’installation en milieu rural, le FIA (Fonds à
l’Initiative Agri-rurale), les met en lien avec la Fondation Raoul Follereau, et les accompagne
dans leur campagne de financement participatif qui est un réel succès.
Aujourd’hui, le volet agricole étant lancé ; ils se consacrent au développement du projet
pédagogique d’éducation à l’environnement. Ils comptent accueillir un camping à la ferme avec service de restauration et proposer des séjours d’immersion en pleine nature.
Ils ont démarré l’accueil à leur ferme en collaboration avec des organismes locaux, et
sont notamment membres du réseau FR CIVAM « Racines », pour partager sens et passion de leur métier à travers l’échange.
www. philosophiepermaculture.com
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