Création d’entreprises innovantes : les formations d’Innov’Up en webconférence à POLeN

Lozère Développement et l’Ecole des Mines d’Alès, associée à la CCI de Nîmes dans le portage de l’incubateur Innov’Up, sont liés par une convention de partenariat.

Depuis le plus d’un an, le partenariat entre Innov’up et Lozère Développement a permis de réaliser des opérations conjointes de sensibilisation à la création d’entreprises innovantes, notamment au Salon des Entrepreneurs à Paris. Les deux membres du réseau Synersud ont réalisé conjointement l’instruction des dossiers reçus aux deux concours « création d’entreprise » qu’ils organisent.

Le lauréat de Bee Creative 2010, Jean-Luc RICHARD, bénéficie du précieux appui technique du Centre des Matériaux de Grande Diffusion – CMGD – laboratoire de recherche de l’Ecoles des Mines d’Alès. Il défendra prochainement son projet de marquage métallique de la pierre devant le jury de l’incubateur pour bénéficier d’un accompagnement technique renforcé.

Enfin, les personnes accompagnées par Lozère Développement peuvent, désormais, assister aux réunions d’information et à certaines formations, en web conférence, à POLeN ou directement sur leur ordinateur personnel, lorsque le format et le contenu de l’intervention le permettent.

Au rythme d’une à deux réunions mensuelles, ce cursus permet aux créateurs d’entreprise innovante lozériens de bénéficier des apports de consultants ou d’intervenants institutionnels incontournables, mais difficiles à mobiliser pour de longs déplacements pour quelques personnes seulement.

Le prochain petit-déjeuner Innov’up retransmis à POLeN se tiendra le 24 février, de 8h15 à 10h00 sur le thème « Les brevets, c’est cher, c’est compliqué, mais…  – Trousse à outils ‘‘brevets’’ à l’usage des décideurs ». Intervention d’Alain Courteville, Ingénieur Brevet au cabinet Pontet Allano & Associés.

Plus d’information sur la réunion et inscription

Source : 

Lozère Développement

Auto-entrepreneur : 3 ans d’exonération de la cotisation foncière des entreprises

Les auto-entrepreneurs et les entrepreneurs individuels exerçant sous le régime de la micro-entreprise, ainsi que les artisans déclarés auto-entrepreneurs depuis avril 2010, sont exonérés de la cotisation foncière des entreprises (CFE) de façon automatique pour l’année de création et les 2 années civiles suivantes (art. 137 la loi de finances pour 2011).

Auparavant, seuls les auto-entrepreneurs ayant opté pour le versement libératoire de l’impôt sur le revenu pouvaient en bénéficier. Les redevables ayant reçu un avis d’imposition en vertu des dispositions antérieures doivent déposer avant le 31 décembre 2011 une demande d’exonération auprès du service des impôts des entreprises dont ils relèvent.

Par exemple, si l’activité a été déclarée le 1er septembre 2010, l’exonération s’applique aux années 2010, 2011 et 2012. L’auto-entrepreneur devient redevable de la cotisation foncière des entreprises (CFE) à partir de 2013.

Attention, pour bénéficier de l’exonération, il est nécessaire de déposer la déclaration 1447-C-SD (formulaire n°14187*01) valant demande d’exonération avant le 31 décembre de l’année de début d’activité (ou dans les 3 mois suivant la création si celle-ci intervient à partir d’octobre).

Par ailleurs, l’auto-entrepreneur, son conjoint, le partenaire auquel il est lié par un pacte civil de solidarité, ses ascendants et descendants ne doivent pas avoir exercé, au cours des 3 années précédentes, une activité similaire.

Après la période d’exonération, l’auto-entrepreneur devient redevable de la Contribution Economique Territoriale – CET dans les mêmes conditions que les autres entreprises :

Concernant la CFE, son montant varie selon la valeur locative des biens fonciers utilisés par l’auto-entreprise.

Une cotisation minimale est exigée et sa base d’imposition est fixée par le conseil municipal (entre 200 et 2 000 €).

Concernant la cotisation sur la valeur ajoutée des entreprises (CVAE), les auto-entrepreneurs en restent exemptés, car cette cotisation est due par les entreprises dont le chiffre d’affaires dépasse 152 500 €.

Source : 

Légifrance – pme.service-public.fr

Liens:

www.legifrance.gouv.fr/affichCodeArticle.do

Les collèges de Lozère seront les premiers à tester l’outil pédagogique en ligne Belearner.com

La plateforme développée par la jeune entreprise innovante ERDENET, hébergée à POLeN, sera expérimentée dans les collèges de Lozère et de Seine-et-Marne en 2011. Personnel éducatif et collectivités y voient un intérêt majeur : rendre les élèves acteurs de leur apprentissage. Une petite révolution…

BeLearner.com : objet numérique apprenant…

BeLearner.com met à disposition du corps enseignant et des élèves une plateforme collaborative, qui s’enrichit en temps réel des différents ajouts, commentaires, questions et réponses des utilisateurs.

Il s’agit d’un dispositif web qui permet aux enseignants de créer des parcours d’apprentissage sous forme de vidéos interactives.

L’outil d’édition donne l’opportunité de suivre pas-à-pas une séquence pédagogique ou de découverte, en liant et en combinant n’importe quel type de support (textes, images, sons, vidéos) sous n’importe quel format. L’utilisateur crée ainsi son propre livre numérique interactif.

Comment est née l’idée de créer belearner.com ?

Le point de départ est le handicap et l’accessibilité à l’apprentissage.

Entre les plateformes e-learning et les diffuseurs de contenus tout prêts, il existe des manques dans le domaine de l’apprentissage numérique. Aujourd’hui l’utilisateur veut participer pleinement : être alternativement enseignant ou apprenant; transmettre et recevoir.

Avec le service belearner.com, les enseignants peuvent éditer eux-mêmes leurs supports et créer des parcours adaptables à chaque élève.

La plateforme permet de récupérer des médias et de créer un parcours dynamique.

Intuitive, elle offre une « visualisation par parcours » totalement inédite.

La passivité n’existe plus puisque l’élève progresse en temps réel et la vidéo ou le document réagissent en fonction des évolutions de l’élève et de ses questions.

Quel est le rôle d’ERDENET aujourd’hui ?

 

BeLearner.com est édité par ERDENET. La convention de partenariat avec le Conseil Général de la Lozère et l’Inspection académique pour expérimenter la plateforme dans des collèges lozériens est une opportunité.

Jusqu’à la fin de l’année scolaire, ERDENET met gratuitement la plateforme à disposition de 12 collèges pour tester la version beta du site. Avec le CDDP de Mende, à la fin de l’expérimentation, un bilan des usages sera établi.

Pourquoi installer ERDENET en Lozère ?

En zone rurale les besoins en documentation, en supports et œuvres de qualité sont énormes. L’éloignement des grands urbains rend nécessaire le recours à un média souple, rapide et pas cher qui diffuse des contenus haut de gamme.

Un site web éducatif, qui en plus est un outil d’édition, qui donc permet une personnalisation et un enrichissement des contenus, favorise l’accès et la circulation des savoirs et des compétences.

Aujourd’hui avec le numérique éducatif, la Lozère offre à ses collégiens le meilleur des supports pédagogiques, dynamique, ouvert, en phase avec la culture numérique des jeunes et des professionnels. Les ressources locales peuvent rencontrer facilement les ressources mondiales.

Et pour 2011 ?

L’objectif est de proposer dès septembre 2011 une formule d’abonnement destinée aux établissements scolaires, aux établissements de formation ou aux enseignants intéressés. Le point de départ de l’expérimentation en Lozère et en Seine-et-Marne doit permettre de mettre sur pied une offre nationale et internationale (la plateforme existe déjà en trois langues).

Source : 

ERDENET

Lozère Développement

Liens:

www.erdenet.fr

www.belearner.com

Le pays des sources en Lozère lance la deuxième édition de « place aux jeunes ».

Lozère développement est partenaire de cette deuxième session de « Place aux jeunes » organisée par le Pays des sources en Lozère.

« Place aux Jeunes » est un dispositif pédagogique qui aide des jeunes qualifiés ou diplômés, originaires ou non du monde rural, à découvrir ou redécouvrir les multiples visages de la région où ils désirent mettre en œuvre leur projet de vie. Ce dispositif leur permet de rencontrer différents acteurs socio-économiques susceptibles de les aider à imaginer leur avenir sur le territoire choisi et à s’y implanter : élus locaux, entrepreneurs et employeurs éventuels. Il leur permet de développer leur esprit d’entreprise et les oriente, si besoin, vers des structures d’accompagnement à la création d’activité.

Cette initiative a pour objectif premier de retenir au pays les jeunes qualifiés ou diplômés qui y sont encore, de favoriser le retour de ceux qui en sont partis, d’aider des jeunes qualifiés ou diplômés extérieurs au territoire à s’y implanter durablement et enfin donner ou redonner à ces jeunes l’envie de vivre, travailler et entreprendre en milieu rural.

Ces week-ends de découverte permettent :

– de rendre attractif le territoire rural sur lequel elles ont lieu, en démontrant qu’il offre de réelles potentialités de développement, qu’il est demandeur d’énergie, d’intelligence et d’innovation, et que la jeunesse peut répondre à cette demande,

– aux participants d’exprimer leurs motivations profondes, préciser leur projet professionnel et leur projet de vie et de prendre conscience de leurs capacités d’adaptation,

– de créer un réseau de contacts et d’entraide regroupant les jeunes qui ont participé aux rencontres dans le but d’engendrer une dynamique locale.

A raison d’un week-end par mois pendant trois mois, « Place aux Jeunes » permet à des groupes de 10 à 15 jeunes adultes qualifiés ou diplômés, âgés de 20 à 35 ans et désireux de vivre et de travailler sur le même territoire rural, de rencontrer des entrepreneurs et acteurs locaux susceptibles de les aider dans leurs démarches.

Pour vous inscrire, cliquez ici

Source : 

Pays des Sources en Lozère

Lozère Développement

Liens:

www.pays-des-sources.fr

OSELA : participez à l’étude de marché

Accompagné par Lozère Développement et DE LOZERE, Christophe BOURCIER souhaite établir un atelier de découpe dédié aux circuits courts à côté de l’abattoir d’Antrenas.

Le questionnaire de l’étude de marché est disponible à l’adresse : www.net-survey.eu/survey/ceifrad/Enquete_BOURCIER_VF/Ethnos.dll

Le caractère innovant du projet n’a pas fait l’ombre d’un doute. Il s’agit bien d’offrir aux éleveurs un nouveau service de découpe et de préparation de produits élaborés pour augmenter la valorisation de leur production et répondre à un besoin des consommateurs : consommer des produits prêts à cuire, faciles et rapides à cuisiner, mais élaborés à partir de viande de qualité issue des élevages de proximité.
Bien que l’idée soit séduisante et qu’un bon nombre d’éleveurs aient déjà manifesté un intérêt pour le projet, beaucoup d’aspects technico- financiers sont à valider pour s’assurer de la faisabilité économique du projet.  L’accompagnement proposé par Lozère Développement et DE LOZERE  passe également par une aide à la faisabilité commerciale accordée récemment par la Région Languedoc Roussillon. Ainsi, une étude de marché a pu être confiée au Centre Européen d’Ingénierie, de Formation, de Recrutement et d’Aide au Développement – CEIFRAD.
L’évolution de la consommation des viandes élaborées est à contre-courant de la consommation de viande en France qui recule depuis plusieurs années. Deux types de facteurs favorables expliquent cette tendance :
–    réduction du temps passé à préparer les repas, réduction de la taille des ménages, innovations dans les modes de conditionnement, désintérêt pour les aliments bruts, recherche de qualité nutritionnelle, recherche de produits locaux issus d’un mode d’élevage traditionnel,…

–    caractère déterminant du prix dans la décision d’achat (la consommation de viande est très élastique aux prix).

Le CEIFRAD a mis en place un questionnaire pour baser l’étude de marché sur une enquête auprès des futurs consommateurs pour valider les hypothèses qui fondent le projet de Christophe BOURCIER.

Vous êtes invités à y répondre en nombre à l’adresse suivante : www.net-survey.eu/survey/ceifrad/Enquete_BOURCIER_VF/Ethnos.dll

Oséo Innovation soutient GOSIS et accompagne sa levée de fonds.

Labellisation FCPI, partenariat avec CISCO, aide à l’innovation, premières commandes : les fondateurs de GOSIS respectent leur feuille de route et préparent sereinement une levée de fonds déterminante.

L’entreprise GOSIS, hébergée à POLeN depuis mars 2010, a reçu récemment le soutien, sous la forme d’une avance remboursable de 250 000 €, d’Oséo Innovation et de la Région Languedoc Roussillon, pour  le développement de son logiciel SIED (Système d’Information Eco Dynamique). Ce logiciel, basé sur une combinaison d’algorithmes approchants (méta heuristiques) sur les données financières, techniques et écologiques de l’entreprise, proposera  un plan d’actions planifié et chiffré de réduction du coût (50%) et de l’empreinte carbone (60%) de son système d’information. L’approche est en rupture technologique avec les systèmes experts habituellement utilisés. Elle  est inspirée  de méthodes industrielles et s’appuie sur le pragmatisme expérimental pour résoudre des équations complexes par itération et approximation.

Le logiciel SIED sera en phase pilote chez trois clients et dans le premier centre informatique  (data center) de nouvelle génération, doté de cette technologie  prévu en Lozère en bordure de l’A75  en 2011. Le Conseil Général de la Lozère s’est prononcé favorablement sur une aide à l’immobilier, pour la réalisation de cet équipement structurant.

Mais d’ores et déjà, des clients font confiance au savoir-faire de GOSIS, qui a installé à POLeN, pour commercialiser  son offre de Cloud Computing économique et écologique,  32 premiers serveurs, conjointement avec son partenaire CISCO (infrastructure NEXUS – UCS).

Le partenariat CISCO / GOSIS intègre également une composante commerciale et des synergies techniques sur le Cloud Computing économique et écologique conçu par l’entreprise lozérienne.

L’année 2010 s’était bien achevée  avec une prise de commandes fermes de 150 000 € et près d’un million d’euros en cours de négociation. Par ailleurs, GOSIS recevait le 21 décembre dernier, la qualification « d’entreprise innovante » au titre des Fonds Communs de Placement dans l’Innovation – FCPI. Ce label permettra une ouverture du capital à des fonds spécialisés dans l’amorçage de projets à  fort potentiel.

Alors que, conformément au prévisionnel d’activité, une équipe de six personnes est en place pour la R&D et le développement commercial,  la prochaine étape consiste en effet pour GOSIS à augmenter ses fonds propres par une levée de fonds auprès d’investisseurs  financiers et industriels. Le cercle vertueux des cofinancements des investissements pourra alors se mettre en place et les deux fondateurs pourront poursuivre leur projet conformément à leur calendrier.

Source : 

GOSIS

Lozère Développement

Liens:

www.gosis.com

ArcelorMittal relance son projet en Lozère

Déjà annoncé en 2008, puis gelé du fait de la crise, le projet d’extension de l’usine d’aciers électriques haut-de-gamme d’ArcelorMittal Méditerranée à Saint-Chély d’Apcher …

Au nord de la Lozère, le projet se concrétise grâce à la garantie bancaire apportée par le Conseil Général et le portage de l’immobilier par la Selo, la Société d’économie mixte d’équipement et de développement de la Lozère.

Celle-ci vient de lancer la construction d’un bâtiment de 27 millions d’euros grâce à un emprunt auprès d’un pool bancaire et la garantie partielle du conseil général de la Lozère. « C’est une garantie d’avenir pour l’usine, justifie Pierre Spirito, directeur de la Selo. Le chantier des fondations spéciales du nouveau bâtiment, qui doit accueillir une tour de 55 mètres, est en cours. La livraison du bâtiment est prévue le 31 décembre 2012. »

Un bail commercial irrévocable de 18 ans a été signé le 21 juillet entre ArcelorMittal et la Selo, après un an de négociations. Quant à l’industriel, il investit dans l’équipement industriel : le site de Saint-Chély-d’Apcher sera doté d’une ligne de recuit continu de 370 mètres, capable de produire 120 000 tonnes par an, qui doublera la capacité de l’usine dirigée par Daniel Grunig. Le coût total – immobilier et équipements – atteint les 90 millions d’euros.

ArcelorMittal veut par cette opération conforter sa position dans les aciers électriques à grains non-orientés haut-de-gamme, utilisés notamment pour des alternateurs d’éoliennes ou de centrales, des moteurs industriels, de voitures électriques ou hybrides…

« ArcelorMittal parie sur cette usine afin de lui donner une place de leader sur le marché des aciers électriques », indique le directeur de la division Sud-Ouest de l’Europe, Jean-Luc Maurange. L’usine lozérienne sera « unique en Europe et permettra de rivaliser avec les producteurs japonais, leaders mondiaux ».

Les clients du site se situent pour un quart en France, pour 60 % en Union Européenne, mais aussi en Inde, en Chine et aux USA…

La nouvelle configuration de l’usine de Saint-Chély-d’Apcher, qui emploie actuellement 182 salariés et dont la fondation remonte à… 1916 (par les Aciéries et Forges de Firminy), doit être opérationnelle début 2013.

Enfin, cette nouvelle ligne est conçue pour optimiser le besoin en ressources en eau et énergie : elle permettra de récupérer une partie de l’énergie pour alimenter le futur réseau de chaleur de la commune de Saint-Chély-d’Apcher, qui livrera de son côté de la vapeur à l’usine.

Source : 

Usine Nouvelle

Liens:

www.usinenouvelle.com/article/arcelormittal-relance-son-projet-en-lozere-avec-la-sem-selo.N157619

Les rencontres du Télétravail

Lozère Développement et la Maison de l’Emploi et de la Cohésion Sociale de la Lozère organisent les premières rencontres du télétravail le 28 octobre à Aumont-Aubrac

A travers une convention signée en 2010, les deux partenaires se sont engagés à élaborer des outils et à promouvoir le télétravail. Les rencontres organisées ce 28 octobre à Aumont-Aubrac sous l’égide du député Pierre Morel à l’Huissier, auteur d’un rapport sur le sujet, bénéficient du soutien de l’Etat, du Conseil général de la Lozère et de Cybermassif. Elles sont le point d’orgue d’une année de réflexions et d’actions sur le développement des nouvelles formes de travail en milieu rural.

A l’occasion de cet évènement fédérateur, un annuaire des télétravailleurs liés à la Lozère sera mis en ligne sur le site internet www.solozere.com. SoLozère ! deviendra, après ce lancement officiel, l’espace communautaire ou se retrouveront les entreprises et les télétravailleurs, salariés ou indépendants, pour mieux se connaitre, se faire connaitre, échanger et collaborer sur des problématiques communes. L’ensemble des contenus élaborés par le Centre de Ressources en Technologies Numériques de POLeN, animé par Lozère Développement, et la MDECS seront progressivement mis en ligne sur le site.

Cette journée doit permettre, à travers les interventions d’experts particulièrement mobilisés sur le sujet depuis de nombreuses années, de montrer au plus grand nombre que les difficultés du début sont aujourd’hui dépassées. Les nouveaux outils de travail, les nouvelles formes de collaboration et de management, notamment permises par les média sociaux et les technologies numériques, ont changé la donne du télétravail.

Alors que les intervenants de cette journée insisteront sur le pas que de nombreuses entreprises s’apprêtent à franchir en direction d’un cadre de travail multiforme, les acteurs du développement économique en Lozère mettront en avant l’environnement instauré dans le département pour accompagner ces évolutions et en faire bénéficier leur territoire.

Lundi 13 décembre à POLeN – Le renforcement des fonds propres des jeunes entreprises à potentiel

Lundi 13 décembre – 11h00 à 14h00 à POLeN

Les entreprises qui innovent peuvent bénéficier d’une large palette de soutiens et d’accompagnements. Le niveau de fonds propres est cependant déterminant pour l’effet de levier auprès des collectivités et des investisseurs. De plus,  le rôle des partenaires financiers va bien au-delà de leur apport : ils sont des partenaires expérimentés, indispensables pour insérer son projet dans les réseaux d’affaires.

Grace à la récente signature d’un accord cadre avec le Fonds Européen d’Investissement et la Région, le rôle du capital-risqueur régional SORIDEC va s’accroitre. Le dispositif Jeremie va permettre  la mise en place de nouveaux instruments de financement pour les entreprises.

Lozère Développement propose, à POLeN, un tour de table des acteurs régionaux de l’amorçage et du capital risque :

Présentation du cadre d’intervention de SORIDEC et des perspectives du capital risque en région avec la création du fonds de co-investissement JEREMIE, doté de 11 M€.

– Alexia SAINT JEAN – Chargée d’affaires SORIDEC

Les deux sociétés régionales de business angels, regroupant plus de 200 investisseurs, seront représentées par :

– Françoise NICOULET – Présidente, SUD ANGELS

– Vincent TURRIES – Président, MELIES

– Jean-Guy ZELINE – Administrateur, MELIES

La présentation sera suivie d’un échange et de présentations de projets locaux autour d’un buffet.

Participation gratuite – inscription obligatoire – places limitées.

Vous souhaitez présenter un projet : contactez Lozère Développement – s.oziol@lozere-developpement.com

Source : 

Lozère Développement

Liens:

www.soridec.fr/Accueil/

www.sud-angels.fr/html/

www.melies.fr

Lozère Développement et la Maison de l’’emploi s’engagent pour le télétravail.

Une convention de partenariat a été signée le 18 novembre 2010 entre le Président de la Maison de l’Emploi et de la Cohésion Sociale de la Lozère, Jean-Paul POURQUIER et le représentant de Lozère Développement, Henri BLANC.

Souvent invoqué pour contribuer au développement économique de la Lozère, le télétravail est désormais au centre des préoccupations de la Maison de l’emploi et du centre de ressources TIC de POLeN, animé par Lozère Développement. En 2011, les deux partenaires mettront en commun leurs outils et lanceront une campagne de promotion à travers un cycle de réunions et d’ateliers pratiques.

La première de ces rencontres s’est tenue à POLeN le 18 novembre, en présence de Pierre Morel à l’Huissier, député de la Lozère, rapporteur du projet de loi sur le télétravail et de Xavier de Mazenot, créateur de zevillage.net.

La réunion était retransmise sur Internet, en webconférence, mais l’essentiel des 35 participants était présent dans la salle. Après un état des lieux rapide, les échanges ont donc été riches et les pistes de travail pour développer le télétravail en Lozère nombreuses.

Travail effectué à distance de l’environnement hiérarchique et de son équipe, à l’aide des technologies de l’information et de la communication, le télétravail peut s’exercer à domicile, en déplacement, en télécentre, en réseau… Il est la conséquence et la cause d’innovations dans l’organisation des entreprises auxquelles il apporte de la souplesse et de l’agilité. Il permet aussi d’améliorer les conditions de travail des salariés qui aspirent à une meilleure qualité de vie.

Au plan collectif, les avantages du télétravail sont multiples et le besoin est réel : réduction des gaz à effet de serre, gestion de crise (pandémies, intempéries climatiques, …), dynamisme rural, décongestion urbaine,… La loi et le cadre réglementaire s’adaptent et ne sont plus un frein au développement du télétravail. L’infrastructure numérique évolue elle aussi, comme c’est le cas en Lozère où le Conseil Général s’est engagé dans un programme d’envergure de déploiement du haut et du très haut-débit.

Au plan individuel, il existe cependant des réticences. En effet, le télétravail induit un découplage entre les cadres hiérarchique et spatial : dirigeants et salariés doivent mettre en place une organisation qui concile épanouissement personnel, respect de la vie privée et atteinte des résultats.

Pour observer un véritable essor du télétravail en France, les métiers qui s’y prêtent doivent pourvoir faire évoluer le rapport au travail des salariés et la volonté de contrôle hiérarchique des dirigeants.

La Lozère, territoire attractif par le cadre de vie qu’il offre aux salariés, a une véritable carte à jouer. L’amélioration de la desserte en haut débit et l’assistance technique du réseau des télécentres (POLeN, antennes de la maison de l’emploi, relais services publics,…), contribueront au développement du télétravail. Une expérimentation « 100 télétravailleurs pour la Lozère ! » a été évoquée par les participants en conclusion de la réunion, pour que cette offre de service fasse l’objet d’une communication percutante.

 

Prochaine étape : le 9 décembre se tiendra à POLeN une réunion sur les outils numériques du travail à distance.

Source : 

Lozère Développement