France, Belgique, Maroc, 2025, 1h57 De Saïd Hamich Benlarbi Avec Ayoub Gretaa, Grégoire Colin et Anna Mouglalis
Drame, romance
Nour, 27 ans, a émigré clandestinement à Marseille. Avec ses amis, il vit de petits trafics et mène une vie marginale et festive… Mais sa rencontre avec Serge, un flic charismatique et imprévisible, et sa femme Noémie, va bouleverser son existence. De 1990 à 2000, Nour aime, vieillit et se raccroche à ses rêves.
L’auteur de Retour à Bollène nous plonge dans les années 1990 aux côtés d’un groupe d’amis marocains exilés, fille et garçons, et observe au long cours leurs destinées. Celle de Nour, centrale, croise la route d’un couple avec lequel d’étroits liens se tissent. Construit en quatre chapitres, La Mer au loin nous saisit par son ampleur romanesque, l’attention accordée à ces personnages qui existent pour eux-mêmes et dont le film sonde l’intime et un rapport à l’amour comme n’allant pas de soi. La photographie contrastée de Tom Harari enveloppe cette histoire vibrante, lumineuse et mélancolique, tout comme la musique raï – « boussole » dans l’écriture – qui imprègne le récit. Une saga envoûtante et
totalement inattendue.
France, 2024, 1h27 De Claude Barras
Conte émouvant et véritable plaidoyer Dès 6 ans
Ensemble, Kéria, jeune malaisienne, Selaï, son cousin, et un bébé singe recueilli dans une plantation de palmiers à huile, vont lutter contre la destruction de la forêt ancestrale, plus que jamais menacée.
Filmée en stop motion (des figurines captées image par image), jouant sur l’ambiguïté du mot « sauvage » (successivement appliqué aux animaux, aux indigènes… et aux exploiteurs), cette très belle parabole de Claude Barras (Ma Vie de Courgette) s’adresse à toute la famille sans renoncer à une forme de maturité.
Un grand film familial, aventurier et engagé sans être moralisateur.
Pour le nouveau film de Claude Barras Cinéco souhaite nouer des partenariats avec les partenaires locaux
oeuvrant pour les enfants ou l’environnement.
Car ce film peut être accompagné par Nelly, malaisienne, née dans la forêt de Borneo, issue de la tribu des
Penan. Elle est devenue l’ambassadrice de son peuple et alerte sur les dangers de la déforestation.
Elle propose, avec l’aide de son mari Guillaume, d’accompagner le film avec un atelier de tressage de rotin
pour les enfants, pour découvrir cet art comme chez les Penan. Chaque enfant repart ensuite avec son
bracelet.
Durée : 45mn, 15 enfants maximum.
Nelly et Guillaume ont aussi réalisé un court-métrage tourné dans son village, qui présente la vie, le
quotidien, des habitants de ce village. Ce film permet de comprendre le mode de vie de ce peuple
autochtone, soucieux de s’adapter au modernisme tout en préservant sa culture.
France, 2024, 1h27 De Claude Barras
Conte émouvant et véritable plaidoyer Dès 6 ans
Ensemble, Kéria, jeune malaisienne, Selaï, son cousin, et un bébé singe recueilli dans une plantation de palmiers à huile, vont lutter contre la destruction de la forêt ancestrale, plus que jamais menacée.
Filmée en stop motion (des figurines captées image par image), jouant sur l’ambiguïté du mot « sauvage » (successivement appliqué aux animaux, aux indigènes… et aux exploiteurs), cette très belle parabole de Claude Barras (Ma Vie de Courgette) s’adresse à toute la famille sans renoncer à une forme de maturité.
Un grand film familial, aventurier et engagé sans être moralisateur.
Pour le nouveau film de Claude Barras Cinéco souhaite nouer des partenariats avec les partenaires locaux
oeuvrant pour les enfants ou l’environnement.
Car ce film peut être accompagné par Nelly, malaisienne, née dans la forêt de Borneo, issue de la tribu des
Penan. Elle est devenue l’ambassadrice de son peuple et alerte sur les dangers de la déforestation.
Elle propose, avec l’aide de son mari Guillaume, d’accompagner le film avec un atelier de tressage de rotin
pour les enfants, pour découvrir cet art comme chez les Penan. Chaque enfant repart ensuite avec son
bracelet.
Durée : 45mn, 15 enfants maximum.
Nelly et Guillaume ont aussi réalisé un court-métrage tourné dans son village, qui présente la vie, le
quotidien, des habitants de ce village. Ce film permet de comprendre le mode de vie de ce peuple
autochtone, soucieux de s’adapter au modernisme tout en préservant sa culture.
France, 2024, 1h27 De Claude Barras
Conte émouvant et véritable plaidoyer Dès 6 ans
Ensemble, Kéria, jeune malaisienne, Selaï, son cousin, et un bébé singe recueilli dans une plantation de palmiers à huile, vont lutter contre la destruction de la forêt ancestrale, plus que jamais menacée.
Filmée en stop motion (des figurines captées image par image), jouant sur l’ambiguïté du mot « sauvage » (successivement appliqué aux animaux, aux indigènes… et aux exploiteurs), cette très belle parabole de Claude Barras (Ma Vie de Courgette) s’adresse à toute la famille sans renoncer à une forme de maturité.
Un grand film familial, aventurier et engagé sans être moralisateur.
Pour le nouveau film de Claude Barras Cinéco souhaite nouer des partenariats avec les partenaires locaux
oeuvrant pour les enfants ou l’environnement.
Car ce film peut être accompagné par Nelly, malaisienne, née dans la forêt de Borneo, issue de la tribu des
Penan. Elle est devenue l’ambassadrice de son peuple et alerte sur les dangers de la déforestation.
Elle propose, avec l’aide de son mari Guillaume, d’accompagner le film avec un atelier de tressage de rotin
pour les enfants, pour découvrir cet art comme chez les Penan. Chaque enfant repart ensuite avec son
bracelet.
Durée : 45mn, 15 enfants maximum.
Nelly et Guillaume ont aussi réalisé un court-métrage tourné dans son village, qui présente la vie, le
quotidien, des habitants de ce village. Ce film permet de comprendre le mode de vie de ce peuple
autochtone, soucieux de s’adapter au modernisme tout en préservant sa culture.
France, Belgique, Maroc, 2025, 1h57 De Saïd Hamich Benlarbi Avec Ayoub Gretaa, Grégoire Colin et Anna Mouglalis
Drame, romance
Nour, 27 ans, a émigré clandestinement à Marseille. Avec ses amis, il vit de petits trafics et mène une vie marginale et festive… Mais sa rencontre avec Serge, un flic charismatique et imprévisible, et sa femme Noémie, va bouleverser son existence. De 1990 à 2000, Nour aime, vieillit et se raccroche à ses rêves.
L’auteur de Retour à Bollène nous plonge dans les années 1990 aux côtés d’un groupe d’amis marocains exilés, fille et garçons, et observe au long cours leurs destinées. Celle de Nour, centrale, croise la route d’un couple avec lequel d’étroits liens se tissent. Construit en quatre chapitres, La Mer au loin nous saisit par son ampleur romanesque, l’attention accordée à ces personnages qui existent pour eux-mêmes et dont le film sonde l’intime et un rapport à l’amour comme n’allant pas de soi. La photographie contrastée de Tom Harari enveloppe cette histoire vibrante, lumineuse et mélancolique, tout comme la musique raï – « boussole » dans l’écriture – qui imprègne le récit. Une saga envoûtante et
totalement inattendue.
France, Belgique, Maroc, 2025, 1h57 De Saïd Hamich Benlarbi Avec Ayoub Gretaa, Grégoire Colin et Anna Mouglalis
Drame, romance
Nour, 27 ans, a émigré clandestinement à Marseille. Avec ses amis, il vit de petits trafics et mène une vie marginale et festive… Mais sa rencontre avec Serge, un flic charismatique et imprévisible, et sa femme Noémie, va bouleverser son existence. De 1990 à 2000, Nour aime, vieillit et se raccroche à ses rêves.
L’auteur de Retour à Bollène nous plonge dans les années 1990 aux côtés d’un groupe d’amis marocains exilés, fille et garçons, et observe au long cours leurs destinées. Celle de Nour, centrale, croise la route d’un couple avec lequel d’étroits liens se tissent. Construit en quatre chapitres, La Mer au loin nous saisit par son ampleur romanesque, l’attention accordée à ces personnages qui existent pour eux-mêmes et dont le film sonde l’intime et un rapport à l’amour comme n’allant pas de soi. La photographie contrastée de Tom Harari enveloppe cette histoire vibrante, lumineuse et mélancolique, tout comme la musique raï – « boussole » dans l’écriture – qui imprègne le récit. Une saga envoûtante et
totalement inattendue.
Espagne, 2024, 1h57 De Bollain Iciar Avec Mireia Oriol, Urko Olazabal, Lucía Veiga
Poignant
A la fin des années 90, Nevenka Fernández, est élue à 25 ans conseillère municipale auprès du maire de Ponferrada, le charismatique et populaire Ismael Álvarez. C’est le début d’une descente aux enfers pour Nevenka, manipulée et harcelée pendant des mois par le maire. Pour s’en sortir, elle décide de dénoncer ses agissements et lui intente un procès. Inspiré de faits réels, l’Affaire Nevenka révèle le premier cas de #MeToo politique en Espagne.
Le basculement de la souffrance psychologique à la terreur physique est radicalement impressionnant, preuve de la force du ressenti qui traverse ce film où la compassion est mise au service de la lucidité.
Cette histoire vraie revêt une grande force féministe. Implacable et glaçant.
France, 2024, 1h44 De Guiraudie Alain Avec Félix Kysyl, Catherine Frot, Jean-Baptiste Durand
Comédie noire et délicieusement décalée
Jérémie revient à Saint-Martial pour l’enterrement de son ancien patron boulanger. Il s’installe quelques jours chez Martine, sa veuve. Mais entre une disparition mystérieuse, un voisin menaçant et un abbé aux intentions étranges, son court séjour au village prend une tournure inattendue…
Guiraudie flirte avec le provocant, le dérangeant et le subversif sans s’y vautrer. Il alimente en revanche une savoureuse ambiguïté, une ironie fugace et souvent drôle, un climat de fantastique soft.
Catherine Frot apporte sa fausse naïveté dans ce monde d’hommes en proie à leurs secrets, sous les clins d’œil discrets d’Eros et Thanatos. Chez Guiraudie, le désir, c’est comme les champignons : il pousse là où on ne l’attend pas, quand on ne s’y attend pas, et revêt des formes imprévisibles. Joyeusement inquiétant.
Norvège, Palestine, 2024, 1h33 De Basel Adra, Hamdan Ballal, Yuval Abraham
Docu puissant et percutant
Depuis plus de 5 ans, Basel Adra, un activiste palestinien en Cisjordanie, filme l’expulsion de sa communauté par l’occupation israélienne qui détruit progressivement les villages et chasse ses habitants. Il rencontre Yuval, un journaliste israélien, qui le soutient dans ses démarches. Une amitié inattendue voit le jour.
Auréolé du Prix du meilleur documentaire à la dernière Berlinale, voilà un document important et poignant sur le conflit israélo-palestinien. Les images captées de l’intérieur, tournées souvent dans l’urgence, donnent au film une force indéniable. Témoignage majeur, y compris sur la relation père-fils et la transmission du militantisme politique, il nous ouvre les yeux sur la violence psychologique et physique vécue au quotidien du fait de l’occupation israélienne. Et ce documentaire, plus que nécessaire, a une résonance nouvelle depuis le 7 octobre 2023.
France, 2025, 1h46 De Carine Tardieu Avec Valeria Bruni Tedeschi, Pio Marmaï, Vimala Pons
Drame généreux
Sandra, une jolie quinquagénaire farouchement indépendante partage soudainement et malgré elle l’intimité de son voisin de palier et de ses deux enfants. Contre toute attente, elle s’attache peu à peu à cette famille d’adoption.
Rappelez vous Du vent dans mes mollets ou Otez moi d’un doute. Et bien nous sommes dans la même veine qui questionne les rapports humains dans des situations particulières avec une bienveillance et une humanité toute particulière. Carine Tardieu excelle dans ces mises à nues qui nous touchent toujours quelque part et qui révèlent nos faiblesses mais surtout nos côtés lumineux d’être vivants cabossés mais attirés par le beau en fin de compte. Elle échappe à tous les clichés et archétype pour perpétuellement surprendre… Un film généreux et intelligent qui prend par surprise, remue et bouleverse bien au-delà de son visionnage. Un film où l’on ressent plus qu’on écoute ou qu’on voit.